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ARGENTINE | PÊCHE EN PATAGONIE

La Patagonie figure  sans conteste parmi les toutes meilleures destinations mondiales  pour la pêche des grosses truites à la mouche. Alors que l’hiver et le froid s’installent en France, les salmonidés argentins se réveillent pour profiter du printemps et de l’été austral.

Nous vous parlons là de la  Patagonie du nord  et de la région de San Martin de Los Andes. Les rivières seront les Caleufu, Malleo, Chimeuin, Traful ou encore le fameux Rio Limay pour ses poissons trophées. Toutes ont des profils différents pour le plus grand plaisir des pêcheurs tout en ayant en commun la pureté des eaux, la beauté des paysages et la richesse de leur population de truite.

Toutes les techniques sont efficaces et la mouche sèche à vue reste très efficace et ludique avec de grosses imitations de sauterelles, les fameuses tcherno!

Poissons  :

Truites arc-en-ciel et farios sauvages. Suivant les rivières, la taille varie de 30 à plus de 60 cm et des poissons trophées de 70 et plus se sont pas rares sur certains parcours comme sur le rio Limay.

Méthode de pêche  :

Vous serez guidés tous les jours que vous voudrez par un guide argentin qui connaît parfaitement les bons endroits et les techniques de pêche. Le wading est partout possible mais un wading stick est indispensable car les rivières restent puissantes.

Saison et climat  :

La meilleure période pour la pêche va de la mi-novembre à la mi-avril, ce qui correspond au printemps et à l’été dans l’hémisphère sud.

Vous serez accueilli dans un lodge haut de gamme, tout neuf avec une vue splendide et imprenable sur le lago Hermoso (le beau lac). Le cuisinier sera à la hauteur du lieu pour vous régaler tant avec sa cuisine conventionnelle qu’en vous faisant découvrir l’art des grillades argentines, les fameux asados.

Si vous voulez faire un break, profiter du paysage, d’une randonnée ou d’une balade à cheval dans les Andes : pas de problème on saura organiser ça pour vous. De même si vous souhaitez un jour off pour visiter San Martin de Los Andes ou Villa la Angostura, on s’adapte.

Equipement :

Canne à mouche de 9 à 10 pieds pour soie # 4-5, grosses sèches type sedge cervidé, parachute…et un assortiment de nymphes type casques d’or en différents lestages. Un ensemble plus puissant en soie de 6-7 est également indispensable pour les plus gros poissons ou en cas de vent fort pour pêcher au streamer. Du nylon de 12 à 30/100 permet de faire face à toutes les conditions de pêche.

Ajoutez quelques gros streamers noirs et oranges, ainsi qu’une soie plongeante de type S5 ou des têtes de lancer très plongeantes pour prospecter les fosses à poissons trophées.

Vêtements  : Waders pour la pêche à pied. L’air est parfois frais (prévoir coupe-vent et polaire et des vêtements de rechange ainsi qu’un sac étanche). Lunettes de soleil et/ou polarisantes, crème solaire, casquette et lotion anti-moustiques…

Prix par personne exprimé en Euro pour un  séjour de 11 jours dont   7 jours de pêche.

Par pêcheur, base 2 pêcheurs,  7 jours guidés  :  € 2730

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Voyage de pêche en Patagonie

Truites et saumons à la mouche et au lancer.

Dans une nature à couper le souffle avec un potentiel halieutique hors norme, la Patagonie chilienne vous attend pour vous faire vivre une expérience de pêche unique. Une destination multi techniques où les pêcheurs de tous niveaux trouveront leur bonheur.  Une prise en charge par nos services de l’organisation de votre voyage, de l’accompagnement et du guidage sur place. Nous vous accompagnons du début de votre projet de séjour de pêche à la réalisation de celui-ci dans les meilleures conditions. 

L'encadrement

Encadrés par des  guides de pêche français et diplômés,   vous serez accompagnés dès votre arrivée à l'aéroport. Au quotidien comme au bord de l'eau notre expérience dans l'accueil des clients sera mise à votre service pour que vous profitiez au mieux de cette immersion. Au programme: Grande variété de spots dans un cadre très sauvage. Une grande densité de truites arc-en-ciel et fario de belles tailles. Hébergement au bord de l’eau au pied de la cordillère des andes. 

Au coeur de notre hiver, des possibilités incomparables de pêche des salmonidés

Moins connue et pêchée que l’Argentine, la patagonie chilienne est un joyau sauvage où la pêche des salmonidés procure des sensations inégalables en Europe. Au delà du dépaysement procuré et de l’accueil chaleureux que réservent les locaux,  se rendre au Chili pour un voyage de pêche est une aubaine pour les pêcheurs français qui voient leur saison s’achever alors qu’elle ne fait que commencer sous cet autre hémisphère.

La réserve nationale du rio Simpson

Nous vous proposons de découvrir la région de Coyhaique par le biais de son système halieutique très varié d’une richesse incomparable. Du rio Manihuales ou Simpson pour les poissons trophées aux plus petits cours d'eau où la pêche à vue se pratique dans des eaux limpides et pures,  de nombreuses techniques de pêche peuvent être abordées dans les meilleures conditions. Dans ce site bordé par la cordillère des andes offrant un cadre sauvage aux dimensions ennivrantes votre guide vous donnera l’occasion d’appréhender la pêche de manière efficace afin de prendre la mesure du potentiel extraordinaire qui s’offre à vous.

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Patagonie Argentine

Aux portes de la patagonie argentine, paradis de la pêche à la mouche.

Tout pêcheur à la Mouche passionné a un jour entendu parler de la Patagonie et de ses paysages enchanteurs où la Pêche à la Mouche y est reine.

Cela fait maintenant plus de dix ans que je voyage régulièrement en Argentine. Je partage ma vie avec Daniela, mon épouse, qui est originaire de la région de Mendoza. C’est un peu plus au Sud, dans la Province de Neuquén, que je me ferai un plaisir de vous recevoir et vous faire découvrir l’incroyable richesse de cette région méconnue du Nord de la Patagonie.

C’est sur ces terres riches de cultures et loin des sentiers battus par un tourisme de masse que je vous guiderai. La région nous offre nombre de possibilités en cours d’eau de différents profils, ainsi que de magnifiques lacs.

La densité de truites est impressionnante que ce soit dans les lacs ou les rivières…et les beaux spécimens sont monnaie courante. Ici nous rencontrerons des truites Arc-en-ciel et Fario avec qui le combat n’est jamais gagné d’avance. Certains lieux peuvent nous réserver de magnifiques surprises …

Pour les plus aventuriers, il est possible d’atteindre des lieux au cœur de la Cordillère des Andes, méconnus, accessibles uniquement après plusieurs jours à cheval accompagnés de Gauchos argentins.

L’Authenticité du Nord de la Patagonie

Pour profiter au mieux de la pêche dans cette région fantastique, il est nécessaire d’avoir des bases correctes pour un séjour organisé. Je serais là pour vous guider et vous expliquer les subtilités de la pêche en Patagonie. Nous prendrons le temps de corriger d’éventuelles gestuelles inadaptées qui pourraient vous rendre la pêche difficile.

Je mets un point d’honneur à l’authenticité du voyage. Nous serons en effet accompagnés tout au long du séjour d’un guide de pêche local natif de la région, et au besoin je jouerai le rôle d’interprète.

Etant cuisinier de métier et amoureux de « bonne bouffe », je vous ferais découvrir tout au long du séjour la gastronomie locale qui fait de l’Argentine un pays à part. Et quoi de mieux pour accompagner un bon « Chivito a la llama » (traduction littérale: « un petit chevreau à la flamme ») , qu’un bon vin rouge Malbec produit dans la province de Mendoza, mondialement réputé pour son vin .

Nous ferons de chaque repas un instant de partage, d’échange et de convivialité dont l’Argentine a le secret.

INFORMATIONS GÉNÉRALES

Lieu :.

Nord de Neuquén, le Nord de la Patagonie Argentine .

Je viendrai vous chercher à l’aéroport de Neuquén jusqu’à la ville servant de point de départ à la pêche (5h de route)

La période :

La saison de pêche s’étend de novembre à fin avril .

La période optimale se situe de mi-novembre  à fin mars suivant les conditions.

Techniques :

L’ensemble des techniques de pêche à la mouche fonctionnent, mais c’est en sèche et en nymphe que s’effectue principalement la pêche. Le streamer est aussi utilisé en rivière et c’est en lac que cette technique prend tout son sens.

Toutes les techniques se pratiqueront en Wading et du bord, ici pas de descente en drift boat.

Logement :

Notre voyage est un voyage de type itinérant. Nous dormirons dans différents hôtels, cabañas et des nuits en camping avec lits de camps sont prévue. Bien sûr, nous adapterons le voyage à VOTRE envie.

Matériel :

Je vous conseille de prendre pour la pêche en sèche des cannes de 9 à 10 pieds de soies 5 à 6 pour une question de confort de pêche . Le vent peut être puissant dans cette région et il faut une canne adaptée pour pouvoir lancer correctement malgré ce dernier.

Pour le streamer il vous faudra une canne de 9 à 10 pieds en soie de 6 à 8 pour pêcher aussi bien en rivières qu’en lacs.

Les cannes de SPEY peuvent être utilisés dans certaines rivières si vous le désirez.

Durée du séjour :

La durée est adaptable jusqu’à 10 jours de pêche guidés, et la prestation s’adaptera en fonction de vos choix. 

Guides :

Je vous guiderai accompagné d’un guide local sur l’intégralité de votre séjour.

Chaque voyage sera organisé pour un minimum de 3 pêcheurs, avec groupes déjà formés, ou il sera possible de former des groupes suivant les demande (possibilité de partir seul ou à deux sous conditions).

Accompagnants non pêcheurs bienvenus. Conseils touristiques sur la région et l’Argentine en général.

Tarifs :

Tarifs et informations sur demande via le site de l’agence de voyage Fishing Adventues GTS  , sur le lien de contact ou par téléphone.

« C’est un pays qui provoque l’agoraphobie, le genre d’endroit qui a causé le syndrome des Prairies chez les premiers colons. Certaines personnes, lorsqu’elles sont exposées trop longtemps à un espace trop grand, infini, finissent par rétrécir, devenir transparentes et enfin se dissoudre complètement. » John Gierarch « Danse avec les truites »

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Pêche à la mouche en Patagonie. Guide ultime avec tout ce que vous devez savoir en 2024

• mars 12, 2024 4:04 pm
• aucun commentaire

C'est une excellente période de l'année pour commencer à planifier votre voyage de pêche à la mouche en Patagonie. Dans cet article, vous trouverez le guide définitif avec les meilleurs conseils pour connaître la Patagonie en Argentine et au Chili et pratiquer votre sport favori dans un environnement unique. Lisez la suite pour connaître tous les détails avant de voyager en 2024.

Où se trouve la Patagonie ?

La Patagonie, paradis naturel qui s'étend au sud de l'Argentine et du Chili, est une région aux paysages inoubliables et à la biodiversité unique. Des sommets enneigés de la cordillère des Andes aux vastes plaines, ce coin du monde offre une expérience inégalée aux amateurs de pêche à la mouche.

Est-il préférable d'arriver en voiture ou en avion ?

Pour pêcher à la mouche en Patagonie, les voyageurs disposent de plusieurs options d'accès. Depuis Buenos Aires, en Argentine, vous pouvez prendre des vols intérieurs à destination de l'aéroport international de San Carlos de Bariloche (BRC) ou de l'aéroport international d'El Calafate (FTE). Depuis Santiago du Chili, des vols intérieurs vous conduiront à des villes telles que Punta Arenas (PUQ) ou Balmaceda (BBA). Ces emplacements stratégiques vous permettront d'explorer différentes régions de la Patagonie, en fonction de vos préférences et de vos plans de pêche.

Une fois arrivé à destination, il est toujours conseillé de louer une voiture ou, pour plus de sécurité, un service de transfert, afin de parcourir à votre guise quelques-unes des routes les plus impressionnantes du Sud. De la route des sept lacs en Argentine, qui vous fera découvrir des paysages éblouissants, à la Carretera Austral au Chili, qui serpente le long des fjords et des forêts vierges. Les routes bien entretenues vous emmèneront dans des endroits isolés et pittoresques, ce qui vous permettra de profiter du voyage autant que de la pêche.

Quels types d'hébergement puis-je trouver en Patagonie ?

La Patagonie offre une grande variété d'options d'hébergement pour satisfaire les goûts les plus exigeants. Des lodges luxueux aux chalets de montagne confortables, les voyageurs trouveront des hébergements alliant confort et authenticité de la région.

Pour une expérience de pêche complète, de nombreux pavillons spécialisés proposent des forfaits comprenant l'hébergement, des repas gastronomiques et des guides experts en pêche à la mouche. Ces établissements sont souvent situés à proximité des meilleurs endroits, ce qui permet aux amateurs de pêche de profiter d'une expérience complète et pratique.

Si vous préférez un contact plus intime avec la nature, la Patagonie dispose également de terrains de camping et de cabanes qui vous permettront de vous immerger dans l'environnement naturel tout en pêchant dans les rivières environnantes.

Si vous voulez pour en savoir plus sur la région des lacs en Patagonie, cliquez ici .

Pourquoi pêcher à la mouche en Patagonie ?

La pêche à la mouche en Patagonie est une aventure unique en son genre. Ses rivières et ses lacs cristallins abritent des populations prospères de truites et de saumons, offrant aux pêcheurs une expérience inoubliable au milieu d'une beauté naturelle indescriptible. La sérénité de la région et l'abondance de la faune et de la flore créent le cadre idéal pour une escapade de pêche d'élite.

Quels sont les meilleurs endroits pour pêcher à la mouche en Patagonie : Argentine ou Chili ?

L'Argentine et le Chili offrent tous deux des destinations exceptionnelles pour la pêche à la mouche en Patagonie. De la célèbre Ruta 40 en Argentine aux rivières sauvages et aux glaciers du Chili, le choix dépend de vos préférences personnelles. La pêche en Patagonie chilienne ou argentine vous donne accès à des rivières cristallines et à des paysages spectaculaires, garantissant une expérience inégalée aux pêcheurs les plus exigeants.

Wh Quel type de poisson peut-on pêcher en Patagonie ? ?

La Patagonie est un sanctuaire pour les amateurs de pêche à la mouche, abritant une multitude d'espèces qui font de chaque journée de pêche une expérience unique.

La truite brune est une espèce emblématique de la Patagonie. Les rivières et les lacs de la région offrent un habitat idéal à cette truite insaisissable et puissante. D'autre part, la truite arc-en-ciel est un autre joyau de la pêche à la truite en Patagonie. Son combat énergique et sa beauté rendent chaque prise inoubliable. Toutes deux peuvent peser jusqu'à 15 livres, bien que les truites de 4 à 8 livres soient plus courantes.

On trouve également le saumon du Pacifique dans certaines rivières et ruisseaux, ainsi que le saumon argenté, qui garantit une expérience palpitante en raison de sa formidable résistance. Le saumon est le plus grand poisson des rivières patagoniennes et peut peser plus de 12 kilos.

On y trouve également la perche, une espèce locale qui ajoute à la diversité de la pêche en Patagonie, et l'omble de fontaine, qui ravira les pêcheurs à la recherche de défis plus techniques.

Ai-je besoin d'expérience pour pêcher en Patagonie ? ?

Il n'est pas nécessaire d'être un expert de la pêche à la mouche pour profiter de la Patagonie. Les eaux de la région sont idéales pour les débutants comme pour les pêcheurs expérimentés. Grâce à des guides spécialisés et à des mesures de sécurité, la pêche en Patagonie est une activité passionnante mais sûre pour tous les niveaux de compétence.

Ai-je besoin d'un permis pour pêcher à la mouche en Patagonie, comment l'obtenir et combien cela coûte-t-il ? ?

Oui, un permis est nécessaire pour pêcher en Patagonie et son obtention est une procédure simple qui contribue directement à la préservation de ces écosystèmes. La plupart des autorités de pêche de la région offrent la possibilité d'obtenir le permis en ligne sur leur site officiel. Si vous préférez obtenir votre permis une fois arrivé en Patagonie, vous pouvez l'acheter dans les magasins de pêche spécialisés, les offices de tourisme locaux ou les centres d'accueil des visiteurs.

Pour la saison 2023/2024, les permis pour les pêcheurs non-résidents en Argentine coûtent environ $100 US par jour et $280 US pour une semaine.

Puis-je me procurer le matériel nécessaire pour pêcher en Patagonie ?

La réponse est un oui retentissant ! Que vous ayez besoin de pièces détachées, d'accessoires ou que vous souhaitiez simplement découvrir les dernières nouveautés en matière de pêche à la mouche, les magasins spécialisés de Patagonia sont l'endroit idéal pour compléter votre équipement. Des mouches artificielles aux cannes à pêche haut de gamme en passant par les moulinets de qualité, la région propose des options pour tous les goûts et tous les budgets. De plus, le personnel compétent de ces magasins vous donnera des conseils personnalisés pour vous assurer que vous disposez de tout ce dont vous avez besoin pour une expérience de pêche réussie.

Quelle est la meilleure période de l'année et de quel équipement ai-je besoin pour pêcher à la mouche en Patagonie ?

Le choix de la période de l'année dépend de vos préférences et du type de pêche que vous souhaitez pratiquer. La saison de pêche varie, mais en général, le printemps et l'été, de novembre à mars, offrent des conditions idéales. Nous vous recommandons de porter plusieurs couches de vêtements pour vous adapter aux changements de temps et de vous munir de vêtements imperméables. N'oubliez pas de consulter votre guide local pour obtenir des informations précises sur les conditions météorologiques et l'état de l'eau avant de partir.

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Guidage à la journée, stages, séjours et voyages de pêche de la Lozère au bout du monde …

Truites de Patagonie (Argentine)

Circuit itinérant en 4 étapes du nord au sud de la patagonie avec l’agence associative de voyages pêche « lozère aventure pêche » pour découvrir les rivières du bout du monde ….

Durée : 15 jours / 14 nuits

Dates : Chaque année de fin février à mi – mars

Destinations  : Patagonie Nord Argentine , Cordillère des Andes.

Les rivières : au programme 10 rivières exceptionnelles, dont quelques grandes rivières mythiques tel le Rio Grande et l’Aluminé, mais aussi des cours d’eau plus secret à découvrir absolument …

Les poissons : Truites fario et Truites Arc en Ciel

Les Techniques de pêche : Pêche à la mouche avec en priorité  sèche et nymphe à vue, mais aussi noyée , nymphe au fil et streamer

Descriptif :

Grâce à une période de prospection réalisée en février 2015 , appuyée par un ami pêcheur résidant en Patagonie depuis plus de 20 ans , l’association « Lozère Aventure pêche » a dépensé  beaucoup d’énergie pour découvrir et tester de nombreuses rivières de Patagonie. Nous avons sélectionné un circuit idéal pour une découverte complète et variée de cette magnifique partie de l’Amérique du sud.

Dans le même esprit que notre voyage aux USA , ce séjour est basé sur l’échange, le partage et la vie de groupe, néanmoins nous vous garantissons toutes les conditions de sécurité, notre sérieux dans l’accompagnement du groupe et la plus grande qualité de l’organisation logistique,  avec un goût d’aventure et d’itinérance. …

Le  groupe sera constitué de  2 équipes autonomes (1 Guide + 3 pêcheurs + 1 véhicule  )  pour pouvoir s’adapter aux conditions du moment  et aux attentes de chaque pêcheur sans se gêner sur les rivières.

Ambiance de groupe, convivialité et solidarité au programme de cette aventure Itinérante.

Le séjour se fait en 2 grandes étapes, l’une au sud vers Esquel, l’autre au nord à Junin de los Andes. L’hébergement a lieu en gîte rural « cabanas » et vos guides s’occuperont de la cuisine, des transports et de  toute la logistique du séjour. Lors du transfert nord-sud, nous ferons une escale dans une auberge typique sur les berges du Rio Limay, dans la région de San Carlos de Bariloche.

Vous découvrirez  toute la dimension de la nature de la Cordillère des Andes avec ses paysages grandioses, ses gauchos et sa  faune diverse : Oiseaux en tout genre , Condors, Guanacos, Cerfs …

Au niveau de la période , nous vous proposons l’automne patagonien. En effet, vous pourrez ainsi bénéficier de niveaux d’eau adaptés pour la pêche en wading favorisant  la pêche en sèche et en nymphe à vue pour vous garantir un maximum de plaisir. C’est également, le début de la migration des énormes truites et ombles lacustres vers les rivières pour frayer, avec la possibilité de rencontrer un poisson trophée. Deux sorties en « Flotada » sur le Rio Grande « Futaleufù » et l’Aluminé ou Colon-Cura sont planifiées pour agrémenter le séjour avec des guides argentins que nous connaissons bien.

Rivières sauvages et préservées, de nombreuses portions de ces magnifiques cours d’eau sont réservées à la pêche à la mouche avec graciation obligatoire. Les spécimens de truite fario et arc-en-ciel (natives), de très belle taille, vous étonnerons par  leur  défense incroyable.

Venez en prendre plein les yeux et vivez votre aventure aux côtés de passionnés !!!

Ambiance de groupe, convivialité et solidarité au programme de ce road-trip pêche sont les valeurs de notre association et les fondements de tous nos séjours.

Plus d’infos :

Pour recevoir la fiche descriptive, les tarifs, et les dates des prochains départs cliquez ici

Les Vidéos des voyages

Voyage adultes, circuit itinérant, hébergement en gîte, qui est sébastien cabane .

LA PÊCHE À LA MOUCHE EN PATAGONIE

Le chili est situé dans l’amérique du sud a un beau paradis appelé patagonia. la patagonie est un endroit magnifique pour les amoreux de la pêche à la mouche. belles rivières et lacs, belle truite arc-en-ciel et fario, saumon, coho, quinnat, peuvent être trouvés dans toutes ses rivières. patagonie trekking avec 10 ans d’expérience en tant que tour opérateurs et guides de trekking et de pêche à la mouche en patagonie. les rivières sont notre passion. guides chiliens spécialisés dans la pêche à la mouche en patagonie chilienne. si vous avez des idées ou des propositions sur un programme, n’hésitez pas à nous contacter.nous pratiquons la pêche avec retour et nous respectons l’environnement., points forts du programme:.

• Santiago du Chili
• Ville de Coyhaique, Patagonie du Nord, Chili.
• Rivière Mañihuales, Patagonie du Nord, Chili
• Rivière Simpson, Patagonie du Nord, Chili.
• Lac Elizalde, Patagonie du Nord, Chili.

Mois de Départ:

Novembre 2023, Janvier 2024, Février 2024 et Mars 2024

• [email protected]

Voyage pêche en Patagonie

Christophe du site Leurres truites nous partage son expérience de voyage pêche en Patagonie .

Informations pour préparer un voyage pêche en Patagonie

Début Février 2020

Quand partir pour un séjour pêche en Patagonie :

La période la plus favorable me semble être de Décembre à Mars qui correspond à l’été là-bas.

Patagonie Chilienne

Comment se rendre en Patagonie :

Pas le choix, il faut prendre l’avion direction Santiago du Chili , la capitale (environ 14 h en vol direct). Vu la grandeur du pays, il faudra ensuite redécoller en direction du sud pour arriver enfin en Patagonie (environ 3h). Les correspondances entre les vols internationaux et nationaux ne sont pas évidentes, prévoyez de la marge !

Caractéristiques de la Patagonie :

Cette région de l’Amérique du Sud est à cheval entre l’Argentine et le Chili, partagée par la Cordillère des Andes. Terre sauvage et peu peuplée, c’est la destination idéale pour celui qui veut se dépayser. La partie Chilienne est moins connu et moins courue que le coté Argentin. Elle possède un très bon potentiel Halieutique (Salmonidés) et de très belles rivières. Le climat est tempéré mais avec de grandes influences Océanique et même Arctique, alors ça reste frais, venté, régulièrement pluvieux et surtout très changeant, on dit là-bas qu’on peut avoir les 4 saisons dans la même journée.

Voyage pêche à la mouche en Argentine à la découverte de nouveaux spots

Quoi d’autre dans les environs ?  

La Patagonie est une région sauvage, très propice aux road trips, randonnées et autres treks nature.

Des montagnes à perte de vue, l’altiplano, de superbes lacs, des glaciers, de quoi en prendre plein les yeux …

Organisation, logement et guidage :

Pour toute les questions pratiques sur le logement et le guidage, je vous invite à vous rapprocher de Jean Domange et Geoffray Begard de Patagonia Fishing . Ils sont sur place depuis plusieurs saisons et connaissent par cœur la région, ils seront vous préparer un super séjour.

Capables de vous proposer des prestations à la mouche ou aux leurres, en rivière, en lac, en bateau, que ce soit pour la traque de la truite ou du Saumon Pacifique : Le Chinook !

Participants à ce voyage pêche en Patagonie Chilienne :

Je m’appelle Christophe Pousthomis, la quarantaine et passionné de pêche à la truite que je traque aux leurres depuis bientôt 25 ans. Pour assouvir encore plus pleinement cette passion et surtout pour la partager, j’ai créé en 2011 un site de e-commerce spécialisé : LeurresTruites.com

Parallèlement, j’ai beaucoup vadrouillé en France pour pêcher avant d’être attiré par l’étranger, l’Irlande d’abord puis en 2018 mon premier séjour en Patagonie, un vrai coup de foudre ! 

Souvenir de notre premier séjour de pêche à la truite en Patagonie Chilienne :

Pour ce nouveau trip, j’ai donc réuni autour de moi une équipe restreinte, Tibo avec qui j’ai déjà partagé le premier séjour et Valentin, le jeune surdoué de notre bande avec qui je pêche très souvent. Une petite équipe afin de limiter les moyens logistiques (voiture, hébergement…) tout en gardant une bonne complémentarité et surtout une grande complicité ce qui est essentiel pour ce style de voyage.

Voilà donc le récit de notre séjour :

Retour en Patagonie

La saison de pêche 2020 se termine et laisse un souvenir particulier tant cette situation de la Covid 19 et la période du confinement auront bouleversé cette année. Afin d’oublier un peu tout ça, je vous propose de faire un bond dans le passé et de revenir sur ce début d’année pour vous relater notre séjour en Patagonie.

Vu le succès de notre premier voyage en 2018, on s’était promis d’y revenir. Après de longs mois de recherches, de préparatifs mais surtout d’attente nous voilà repartis pour l’autre bout du monde : la Patagonie Chilienne .

Fort de notre première expérience, nous sommes repartis avec l’équipe de Patagonia Fishing , tout en gardant plus d’autonomie et dans un objectif clair : découvrir de nouveaux secteurs, sortir des sentiers battus et bien sûr profiter à fond.

Je vous passe les interminables heures de vols et les péripéties d’une telle traversée, l’essentiel n’est pas là, car malgré tout, nous sommes finalement arrivés à bon port et avec tous nos bagages, l’aventure peut commencer.

Après un long voyage

Quel plaisir de retrouver ces paysages Patagoniens même si le temps très couvert nous rappelle aussi la rudesse de la région !                 

On dit que là-bas le temps est plus lent qu’ailleurs et cela prend tout son sens quand on circule en Patagonie. Malgré le 4*4, les trajets sont longs, beaucoup de route restent encore des pistes au revêtement irrégulier et très peu roulant, il faut être vigilant et prendre son temps. Il y a quand même des améliorations sur les secteurs les plus fréquentés et d’ailleurs on traverse d’immense zones de travaux routiers mais là aussi la patience est mise à rude épreuve.

La seule petite ville traversée, nous permet de faire les courses et bien sûr de prendre nos permis de pêche. Trois bonnes heures plus tard nous arrivons enfin à notre destination dans un petit village au bord d’un joli rio. Le logement est assez spartiate mais correctement équipé et surtout, il se trouve au milieu de la zone où l’on veut prospecter !

Retrouvailles

Après une installation rapide, il est temps d’aller retrouver les truites, l’impatience est énorme mais on a peu de temps. On opte donc pour un parcours proche et facile d’accès. Rapidement la délivrance arrive sous la forme de quelques poissons, oh rien d’extraordinaire mais de vraies belles retrouvailles !

La nuit approche mais malgré la fatigue dut au décalage horaire, l’envie de pêcher est plus forte. Pendant que je remonte tranquillement, Tibo et Valentin sont positionnés face à un pool, ils insistent. Je n’y crois pas trop mais alors que je les rejoins, Valentin se retrouve aux prises avec le roi de la rivière : un Chinook (Saumon Pacifique). C’est gros, très gros mais malheureusement, après quelques coups de têtes puissant, la « bête » se décroche !

Nous sommes stupéfaits, partagés entre la chance d’une telle rencontre dès le premier soir et le désarroi de cette décroche ! Précipitation, manque de puissance au ferrage ou fatalité, on ne sera jamais réellement la cause mais on peut dire que l’aventure commence fort …

Après un bon repas et surtout bonne une nuit de récupération, il est temps de mettre en pratique les travaux de repérage sur cartes et de partir à la découverte d’une première rivière.

Ça commence fort :

Un peu de piste, quelques passages délicats en 4*4 et un peu de marche nous emmènent au bord d’un Rio somptueux et clair. Sur la première partie, peu de végétation et peu de caches, rendent la pêche pas très productive.

C’est en remontant dans une partie plus encaissée, que l’on retrouve enfin de très beaux poissons. Les captures s’enchaînent et notre petite équipe profite à fond. Plus haut encore, la progression devient délicate. Il faut toujours tempérer l’enthousiasme des débuts de séjour et ne pas prendre de risque inconsidéré, un accident dans ces endroits reculés, gâcherait irrémédiablement le voyage. Au prix de quelques détours et de petites phases d’escalade, de nouveaux secteurs s’ouvrent à nous et nous livrent de fabuleux poissons.

Cette première journée est donc une belle découverte mais il temps de rentrer afin de profiter du coup du soir dans une zone moins escarpée.

Changement de décor

On choisit une plus grande rivière sur un secteur avec des courants profonds mais assez lents. Changement de matos, on passe sur du plus lourd et on peigne avec de gros leurres (D Contact 85, Meteora 80…).

Sur ces grandes zones sans poste vraiment marqués mais où de beaux poissons peuvent attaquer à tous moments, ça se joue au mental. Encore plus qu’ailleurs, il faut croire en ce que l’on fait, sinon l’absence de touche ou de suivi est vite décourageante. Après avoir ratissé la plage et fait une paire de petites, on s’efforce donc de lancer au plus près de la bordure en face, on laisse le leurre gagner de la profondeur et on anime au plus près du fond.

Bon c’est la description idéale car il faut bien dire que la profondeur importante, la puissance du courant et les arbres morts qui jonchent le fond ne facilitent vraiment pas la chose et nous font même perdre pas mal de matériel.

Mon premier …

Mais après un long moment à s’appliquer en vain et alors que la pluie fait son apparition, une touche de l’espace me réveille !!

Le premier rush me fait de suite comprendre que c’est gros, le jump au milieu du courant me fait comprendre que ce n’est pas gagné et que ça va être long !

En effet le poisson reste à bonne distance tient le fond et se défend tout en puissance, la Smith Lagless 73 travaille bien et je gère au mieux avec le frein. Le combat s’installe dans la durée, Tibo filme et me coache, Valentin prépare l’épuisette, on aperçoit des reflets argentés mais impossible de savoir encore si c’est une big AEC ou un Chinook. J’ai mal au bras et je suis trempé mais le poisson se rapproche et après 2 ou 3 tentatives, il est dans l’épuisette.

Yes, mon premier Chinook, pas gros mais tellement majestueux et puissant !

Voilà qui termine bien cette journée, on peut rentrer, boire un coup, on l’a mérité.

Les soirées dans la cabañas sont relativement simple mais un bon repas, un feu de cheminée, un peu de musique et quelques bières permettent d’aider à tenir le rythme et de préparer sereinement les jours à venir !!

Cap au Nord à la découverte d’un rio :

Pour cette journée notre choix se porte sur un petit Rio plus au nord. C’est une nouvelle découverte et aux vues de nos infos, il doit être moins encaissé et plus facile à prospecter.

La première chose qui nous saute aux yeux lorsqu’on arrive au bord de l’eau, c’est que la rivière est plus large, assez peu profonde mais comme le secteur de la veille au soir, elle est envahie de gros troncs, ça promet beaucoup de caches.

Vu la faible profondeur, l’équipe débute la pêche avec des leurres de tailles moyenne (D Contact 63, D incite 53…) et on insiste le long des arbres immergés. Le début de matinée est assez calme mais l’arrivée du soleil et le petit réchauffement, permettent de rentrer les premiers poissons. On remonte doucement cette belle rivière, ou s’enchaînent de belles bordures et de grands radiers !  Les prises sont alors régulières et c’est assez logiquement sur les postes les plus marqués et les plus encombrés qu’on touche les beaux poissons.

Sur un joli courant, on touche plusieurs truites sous la surveillance d’un Martin-pêcheur qui guette nos moindres mouvements, prêt à tenter sa chance. Ces oiseaux sont ici énormes et le spectacle qu’ils proposent est impressionnant.

Le pique-nique au bord de l’eau dans ce cadre enchanteur

Cela nous permet de profiter encore plus de cette nature et d’apprécier le moment.

Après la pause, on reprend notre prospection, les postes sont maintenant plus marqués, les poissons restent actifs mais de plus petite taille. Alors que l’équipe insiste sur une sorte de seuil naturel, je prends un stop en plein dans le « blanc du courant », une touche discrète, mais instinctivement je ferre.

J’annonce poisson, sans trop savoir la taille de l’individu. Il se défend doucement, sans rush mais bizarrement tient très bien le courant. Il me faut une petite minute pour le décider à descendre et enfin apercevoir sa masse sombre au fond de l’eau claire. C’est un très beau mâle qui frise la barre des 60 cm. Un bécard assez maigre marqué par la vie, incontestablement un vieux poisson mais qui m’a offert de belles émotions ! 

Cette rencontre nous incite à continuer mais plus haut les prises redeviennent plus classiques, il est donc temps de faire le long chemin du retour et de rentrer se reposer car demain nous attend une grosse journée !

Effectivement on décide de s’aventurer dans un Rio qui nous avait beaucoup plu lors de notre premier séjour et surtout qui nous avait bien réussi. On part une nouvelle fois pour la journée dans une gorge encaissée, l’accès est un peu compliqué mais surtout il n’y a pas d’échappatoire avec 1 seul point d’entrée et de sortie.

Une journée physique dans des gorges sauvages :

Départ à l’aube avec tout le nécessaire pour une journée de crapahutage : matériel, rechange, tenue de pluie, pique-nique, eau, trousse de premiers secours …

On commence par une traversée périlleuse de la rivière, les niveaux sont hauts et ça pousse fort mais nous n’avons pas le choix. Tibo est surmotivé et nous montre le chemin, il lui tarde de retrouver ce secteur qu’il avait adoré mais il faut faire attention à ne pas prendre un bain avant d’avoir commencé. Arrivés de l’autre côté, pas le temps de souffler, il faut maintenant contourner tout un secteur de falaise.

Ce n’est pas très long mais ça grimpe et avec tout le matériel, il faut adapter l’allure. Le sentier domine la rivière et au lever du jour le spectacle est superbe. Il n’y a plus qu’à regagner la rivière mais c’est plus facile à dire qu’à faire car le dénivelé est important et qu’il n’y a plus vraiment de traces.

Après cette descente périlleuse, on peut enfin attaquer de pêcher, Valentin est le premier à dégainer alors qu’on finit encore de se préparer. Sans bouger, il capture plusieurs petites AEC de toutes beautés, c’est parti.

Pour moi ça débute moins bien, je me précipite, je ne suis pas dans la pêche alors que Valentin enchaine et touche maintenant une superbe Fario qui passe largement les 50, il nous montre la voie.

Changement de leurre

Dérive plus lente et bim au-devant d’une pierre c’est un beau poisson qui sanctionne mon D Contact 72. Le combat s’annonce délicat car le poisson joue de sa puissance et dévale. Le secteur est très torrentueux, le poisson descend cascade après cascade et devient vite inaccessible, c’est la casse inévitable. C’est rageant mais je crois ne pas avoir grand – chose à me reprocher tant la défense de ce poisson a été rapide et incroyable, de toute façon je ne pouvais pas le suivre !

Pour me remettre de ce mauvais début et de cette frustration, je décide de poser un peu la canne et de filmer Tibo et Valentin. Ils remontent prudemment toujours les pieds dans l’eau, passant de rocher en rocher. Je filme et m’amuse à commenter leurs faits et gestes mais les yeux dans la caméra, je manque une pierre, glisse et me retrouve allongé dans l’eau. Heureusement pas de blessure, je suis juste trempé, frigorifié par cette eau à moins de 10 C° et surtout vexé et en colère de mon erreur d’inattention. Une pause s’impose, prendre le temps de se sécher, de se changer car ce n’est pas le moment de prendre froid, la journée va être longue.

Une fois reconcentrée et surtout revenu au « sec », je retrouve mes compères pour continuer la remontée de cette gorge, la pêche est plus compliquée et les poissons actifs sont de petites tailles. Il faut gratter et insister au plus près des caches pour faire sortir quelques belles !

Nouveau pool de pêche

A midi nous arrivons à un superbe poste, un pool ou nous avons prévu de pique-niquer, mais surtout un poste où lors de notre premier séjour Tibo a attrapé un énorme Chinook. Ultra motivé par ce souvenir, on peigne la zone sans relâche mais les dieux de la pêche ne sont pas avec nous aujourd’hui !

Après la pause pique-nique et une micro sieste, on continu à s’enfoncer plus profondément, le décor est grandiose, sauvage, impressionnant, les cacades s’enchainent au milieu de blocs rocheux énormes. La pêche reste difficile mais on arrive quand même à toucher quelques beaux poissons.

Cette gorge est sans fin, plus on avance plus la progression est lente et difficile, aucune zone de repos mais partout dans ces courants profonds l’espoir de toucher le poisson d’une vie ! Ça ne sera pas le cas, pas de Chinook ou de poisson trophée à l’horizon, il faudra se contenter de truites à la taille correcte. L’heure avance et le retour serra très long, il faut donc rebrousser chemin et patiemment redescendre toute la rivière.

Les jambes piquent et la dernière traversée s’annonce périlleuse, il faut redoubler de concentration pour finir la journée au sec.

La fatigue commence à bien se faire ressentir car cette journée a été autant éprouvante que frustrante, une grosse nuit de sommeil sera essentielle pour repartir sur de bonnes bases.

Retour en grande rivière 

Pour cette nouvelle journée, on opte pour monter sur le haut d’une grande rivière, la progression y sera moins sportive et le profil beaucoup plus régulier : courants, plages, radiers…

Après un peu de piste, nous sélectionnons un secteur courant mais pas trop, il nous semble idéal pour nous éclater aux leurres. Il fait beau, l’eau est limpide, la rivière ultra propre, espérons que les poissons soient dehors.

Rapidement plusieurs captures sur le haut d’un radier nous indiquent que les belles sont actives et qu’on va cartonner !

En grande rivière et quand l’activité est bien présente, la pêche à plusieurs est géniale et participative, tout le monde s’entraide, on pêche en même temps, ça échange, ça chambre, dans tous les cas on profite.

Depuis le matin, le compteur s’affole, ça épuisette à tout va et on fait les premiers doublets du séjour, un pur moment de plaisir !

Doublé de + 50 cm

Alors que nous remontons sur la plage, un poste marqué rive opposé attire notre curiosité, il est inaccessible depuis cette berge mais parait très prometteur. On décide avec Valentin de se rapprocher pour mieux le pêcher. Un arbre immergé presque parallèle à la rive, créé sous lui une petite zone parfaite.

Arrivé à distance, Valentin tente sa chance, le lancer est bon et immédiatement une tache sombre surgit de sous l’arbre pour sanctionner l’intrus, le poisson suit mais n’attaque pas. A mon tour, je lance pour le même résultat, un nouveau suivi infructueux. On pense avoir loupé l’occasion car malgré nos nouveaux lancers plus rien ne bouge maintenant. Un peu par dépits, on se rapproche et se repositionne pour essayer d’obtenir un meilleur angle d’attaque. C’est à nouveau Valentin qui jette et encore une fois c’est parfait, notre position lui a permis de lancer plus haut et plus au ras du tronc, la sanction est ce coup si, immédiate et on épuisette rapidement une superbe Fario de 55 cm.

Sous le regard et les commentaires de Tibo depuis l’autre rive, j’ai maintenant la pression, car il me faut faire le doublet ! Avec un peu d’application, le lancer est correct, l’animation bonne et c’est pendu, la belle vient rejoindre le poisson de Valentin dans son épuisette, on tient notre premier doublé de 50++.  

Quel bonheur de capturer de tels poissons, de partager ces moments avec les amis et surtout de voir ces farios tranquillement regagner leur cachette !

le coup du soir

La journée va ainsi se dérouler jusqu’au coup du soir avec de belles captures régulières nous démontrant, une fois de plus le potentiel extraordinaire de ces rivières.

Le repas du soir ce sera une première car on a choisi en fin de journée de prélever 3 truites pour gouter ces superbes poissons, un vrai régal, merci encore au cuisto de la bande, Tibo !

Objectif Arc en Ciel pour cette journée pêche en Patagonie

Pour le lendemain notre choix se porte sur une superbe petite vallée perdue qui nous avait enchanté en 2018, espérons qu’il en soit de même cette année.

Boosté par les résultats de la veille, nous prenons donc la direction de ce petit Rio. L’accès par la piste est assez rapide et après un peu de marche, on atteint la rivière dans une zone très végétalisée. Aujourd’hui on va donc utiliser du matos plus léger avec l’espoir de toucher quand même de belles truites Arc-en-ciel ou AEC car ce Rio en possède une bonne population.

La pêche commence doucement et malgré la beauté du parcours on peine à toucher des poissons corrects. C’est Tibo qui ouvre le compteur sur une belle Fario grâce à des lancers précis sous le couvert végétal.

Savoir lancer

Ce sera la solution technique du jour, en effet les poissons sont peu actifs et il faut insister au plus près de leur cache pour les faire réagir. A ce petit jeu, la précision fait la différence et il faut tomber vraiment au ras de la bordure pour espérer une touche. Encore une fois la complémentarité et la collaboration de l’équipe fait merveille, l’un pêche, l’autre observe, filme et vice versa. Pour toucher enfin de jolies AEC, il aura fallu attendre de sortir de cette zone végétalisée et pêcher un secteur plus minéral. Là sur une zone de radier à l’aide d’ondulantes, on cartonne sur des Arc de petites tailles, un vrai Area sauvage, on a bien rigolé !!!

La matinée sous le soleil est un succès même si on aurait pu espérer encore mieux en taille, la zone qu’il nous reste à prospecter plus haut est prometteuse, espérons pour l’après-midi.

Revigoré par le pique-nique, nous peignons de jolis postes avec de beaux courants et des berges creuses. Les résultats sont immédiats et à tour de rôle on touche les poissons convoités, des AEC avec de superbes robes !

Farios et truites arc-en-ciel

Les 2 espèces sont bien présentes dans ce petit rio mais réparties très différemment sur les postes.

Les Arc sont postées en plein jus au cœur des courants (même puissant ou très peu profond) alors que les Fario sont sur les zones plus calmes.

En fonction du secteur pêché on sélectionne donc un peu l’espèce qui va attaquer mais il faut attendre les jumps incessants pour confirmer qu’on affronte bien une AEC, quel punch ces poissons !  

Plus haut dans une nouvelle zone végétalisée, on assiste stupéfait à une scène impressionnante. Alors que Valentin pêche une belle veine d’eau, une énorme Fario jaillie de sous les arbres à la poursuite d’une libellule, elle saute plusieurs fois pour tenter de l’attraper. Malgré nos multiples tentatives, on ne la reverra pas mais quel poisson et quelle attaque spectaculaire !

Ce soir, on ne fera pas de coup du soir car Jean et Jullian de Patagonia Fishing, organisent un Asado (barbecue typiquement Chilien). Il est donc temps, après un dernier superbe poisson pris par Tibo, d’aller retrouver les amis pour une belle soirée entre passionnés autour du feu.

Cascade et compagnie 

Pour se remettre de notre soirée, le lendemain nous décollons plus tard que d’habitude de notre cabañas. Sur les conseils de Jean, on part pour un secteur plus bas à la confluence de 2 rivières.

On remonte la plus petite des deux, le parcours est idéal pour notre technique et rapidement on enchaîne les poissons. Ici aussi les AEC et les Fario se côtoient, on passe un très bon début de matinée.

Plus haut la rivière se resserre entre des falaises et les coups deviennent plus marqués et surtout plus profond. De vrais pools à Saumon, on les explore méthodiquement avec de plus gros poisson nageurs et des leurres souples mais aucune trace de Chinook, toujours des truites.

Au détour d’un méandre, le spectacle est saisissant et le bruit infernal, on se retrouve au pied d’un cascade d’une bonne vingtaine de mètres. Elle crée un immense gour, difficile à bien pécher tant il est grand et profond. A 50 m de la chute nous sommes déjà trempés par la brume qu’elle génère, c’est impressionnant. Bien en place, l’équipe attaque ce coup et le succès est immédiat.

Chaque fois le scénario est le même, je touche les poissons au cœur du gouffre et descend les épuiseter sur le radier au-dessus. Mes 2 collègues sont eux resté au LS, malgré de nombreuses touches et de gros combats, ils enchaînent les décroches et pestent.

De mon côté, fidèle à mes D contact 72, j’enchaine les captures et commence à bien remplir mon épuisette qui s’est transformée en vivier, impressionnant la densité de ce secteur.

Après ce moment d’euphorie et vu que la cascade est infranchissable, nous sommes contraints de faire demi-tour et de remonter au 4*4. Pour la suite de la journée nous allons prospecter des grands courants de la rivière principale dans l’espoir d’y dénicher de beaux sujets.

Une nouvelle fois le secteur est miné d’arbres morts qui multiplient les caches mais qui compliquent aussi grandement la pêche. Pour peigner à grande distance et éviter trop d’accrochages, l’option des ondulantes est intéressante et efficace.

Dans les zones plus profondes, changement de stratégie, on monte de gros PN coulant, des lames, des leurres souples, bref on gratte ! A ce jeu Tibo excelle, il a la technique et la patience indispensable à cette traque. Même s’il est un peu déçu car ce n’est pas l’espèce tant espéré, il nous démontre son efficacité en sortant plusieurs très belles truites.

La soirée est une nouvelle fois sympathique, mais la fatigue est bien présente, il faut donc être raisonnable car demain nous attend le plus gros morceau du séjour. Après études de cartes, repérages sur place et confirmation de la bonne météo, on se lance en effet dans un rio « vierge » de tout accès. Il va falloir randonner pendant environ 2 heures et avaler un bon dénivelé.  

Randonnée et exploration en terre Chilienne

Réveil à l’aube, les affaires sont prêtes, le 4*4 chargé, on peut démarrer notre expédition. La randonnée commence par une marche d’approche dans des pâturages avant d’attaquer de face, le gros du dénivelé. On suit le sentier des vaches et des gauchos, ça grimpe dur et on monte rapidement en température mais la motivation est là !

En prenant de la hauteur les points de vue sont extraordinaires, nous marchons au milieu des fleurs et des petits arbres, rapidement on domine la vallée qui sera l’objectif du jour.

Longtemps le sentier suit la rivière, très haut à flanc de montagne et on traverse maintenant des forêts qui alternent feuillus et résineux dans de superbes paysages vierges de toute activité humaine. Enfin dans le creux d’un petit affluent, on rejoint le rio tant espéré. L’impression est bizarre comme de pénétrer dans une zone inexplorée, d’être les pionniers. Ce n’est certainement pas le cas mais ce qui est sûr par contre c’est que la pression de pêche du secteur est nulle et on va vite en avoir la confirmation.

La rivière est superbe, des petits courants entres des blocs, puis plus haut des coups plus marqués.

Des truites à foison en voila

Les poissons corrects s’enchaînent et les compteurs s’affolent, la matinée passe à une vitesse dingue. L’équipe « prend son pied » comme jamais encore, la densité est impressionnante, nous réalisons nos premiers triplets.

On prend la pause repas en retrait d’une plage de galets, assis sur des troncs au milieu de petits pins, on profite de ces instants au milieu d’une nature intacte, quel bonheur.

Plus on remonte ce rio, plus on est émerveillé, sur une partie de la vallée plus large, le Rio se divise en plusieurs bras, on se sépare pour mieux les prospecter et partout la pêche est fantastique.  Après 1 h en solo, on se retrouve sur le haut de cette zone .

Tibo nous attend à l’entrée d’un poste magistral ou il vient déjà de toucher 2 très beaux spécimens. La rivière forme un joli virage au pied d’une falaise, le courant lent et profond est idéal pour cacher de beaux poissons. C’est donc à notre tour d’attaquer la zone, encore un grand moment de complicité, de rigolade avec en plus la réussite car les poissons répondent en nombre à nos animations.

Plusieurs postes de ce style se succèdent avec toujours les mêmes résultats, la densité est démente et la taille moyenne impressionnante, l’occasion de filmer des scènes incroyables dans ce paradis de la pêche !

Fin de journée de pêche

Le temps passe vite et malgré l’attrait toujours important des zones plus hautes, il va falloir se résoudre à rentrer. Un dernier courant, encore quelques lancers dans l’espoir de dénicher le poisson trophée mais en vain, la taille plafonne et on ne passera pas les 55 cm. La casse d’une canne sur une chute sans autre gravité, sonne la fin de la session. La fatigue se fait sentir, il faudra être prudent pour la longue descente et la randonnée du retour.

Arrivé au 4*4, les jambes sont lourdes mais le trajet s’est bien passé, nous avons marché à bon rythme avec des souvenirs plein la tête. Quelle journée, quelle découverte, quel pied, parmi les plus belles journées de pêche de toute ma vie !

Il est tard et on est fatigué mais on ne résiste pas à un coup du soir sous la cabaña, tranquille, un seul objectif, attraper le repas du soir. Mission accomplie, au menu ce sera Arc, Fario et vin Chilien, juste ce qu’il faut pour terminer la journée en beauté.

Le séjour touche à sa fin, nos objectifs de prospection sont atteints et nous sommes comblés de ce côté-là. Nous allons donc consacrer les dernières sessions à la traque de poissons trophée en grandes rivières avec l’espoir de toucher un nouveau Chinook !

Objectif Saumon 

Il a plu une bonne partie de la nuit et le vent s’est levé, cela va encore compliquer notre pêche sur ces grands rios mais nous avons eu déjà beaucoup de chance de ne pas rencontrer plus de jours ventés car c’est très fréquent dans cette région. Pour se protéger un peu, on commence la matinée par prospecter une berge boisée, cette berge creuse, borde un courant puissant, elle n’est pas facile à pêcher mais nous permet de toucher nos premiers poissons.

Plus haut la végétation disparait et la rivière change de morphologie, plusieurs pools se succèdent mais nous sommes très exposés au vent, pas facile d’atteindre de grandes distances de lancer ou de maitriser les dérives.

On ressort les leurres lourds, les grosses ondulantes et des LS montés sur de grosses têtes plombées. Une nouvelle fois, Tibo nous montre qu’il maitrise cette technique, il touche sur une lame vibrante un superbe poisson au cœur d’un pool. La défense est lourde mais ce n’est encore qu’une Fario. Un superbe poisson qui laisse malgré tout un gout amer à Tibo, qui espérait encore mieux.

De mon côté une grosse ondulante, me permet de prospecter la berge opposée. Je prends une belle tape au posé mais rapidement décrochée. Je continu quand même ma récupération linéaire car j’observe depuis ma position surélevée que le poisson suit toujours. Il attendra un long moment avant de se décider mais rejoindra finalement l’épuisette après un sympathique combat en surface et après avoir traversé toute la rivière.

La matinée terminée

nous décidons de bouger pour aller explorer de gros pool plus en aval. Ces secteurs sont connus et très fréquentés par les pécheurs locaux, il va donc falloir se démarquer pour faire la différence. Les Chiliens s’intéressent quasi exclusivement au Chinook, ils affectionnent donc ces zones stratégiques. Ils pêchent, lourd et ratissent inlassablement ces zones avec un matériel assez rudimentaire mais efficace et leur persévérance est parfois récompensée.

Ces pools sont grandioses, des zones très profondes succèdent à des courants très puissants, ils sont vraiment impressionnants. On s’applique malgré tout à les pêcher et on jette nos derniers atouts à l’eau…

En vain, malgré la taille surdimensionnée de nos leurres, on touche uniquement quelques truites modestes. Seul Valentin en grattant au pied des blocs avec un LS sur une grosse TP parviendra à capturer un superbe mâle. Un bécard aux mensurations impressionnantes, l’un des plus beaux du séjour, un sacré coup de ligne, bravo !

Le saumon ou le poisson aux 1000 lancers

Il faut bien se rendre à l’évidence que même ici la capture d’un saumon reste aléatoire et que ce poisson porte bien son nom : le poisson aux 1000 lancers  !

On le touche parfois sans vraiment le vouloir et quand on le cherche vraiment impossible d’en prendre. En 2018 alors qu’on ne l’a pas pêché spécifiquement, Tibo a eu la joie d’en prendre 2 de très beaux, cette année ou il faisait clairement parti des objectifs, il faudra se contenter d’un petit pour moi et d’une rageante décroche pour Valentin. C’est la pêche et il faut croire qu’il faudra revenir pour avoir la joie d’en capturer un autre…

Il est bientôt temps de plier les gaules mais on se réserve une dernière récréation sur notre petit rio préféré, un dernier coup du soir en signe d’adieu. Les derniers lancers, les dernières truites, histoire de profiter encore un peu de ce paradis…

Voilà, la fête est maintenant finie, il faut se préparer au voyage retour qui sera long et éprouvant, mais au moins une fois dans l’avion, la fatigue a permis de rapidement trouver le sommeil.

Conclusion sur ce voyage pêche en Patagonie Chilienne

Merci mes amis de m’avoir accompagné dans cette aventure et d’avoir rendu ce voyage aussi exceptionnel. Ce séjour a été presque trop court mais il n’était pas facile pour moi de libérer plus temps aussi bien professionnellement que personnellement. La parfaite préparation matérielle en amont, notre bonne organisation sur place et surtout l’entente sans faille a pleinement contribué à ce succès. On s’était bien préparé physiquement et c’est une chose essentielle pour tenir le rythme d’une aventure aussi intense. Car je ne sais pas si cela se ressent dans mon récit mais je vous garantis qu’on s’est envoyé des heures de pêches et de crapahutage, comme c’est difficilement imaginable. On voulait sortir des sentiers battus, prospecter et découvrir, mission accomplie, on s’est régalé !

Un grand merci pour ce séjours de pêche en Patagonie :

• encore à Geoffray et Jean de Patagonia Fishing sans qui ce voyage pêche en Patagonie, rien n’aurait été possible !
• à notre cartographe en chef (il se reconnaîtra) qui depuis l’autre bout du monde a su nous guider à travers les montagnes, c’était très précieux.
• aux locaux pour leur sympathie, leur accueil et leurs conseils.
• et à Smith , à River Shoes , à PVM et à LeurresTruites.com de nous avoir soutenu matériellement sur ce projet.

Enfin et surtout merci à ma chérie Marlo et mes garçons de supporter ma passion folle, envahissante et égoïste !

Gardez la pêche et à bientôt pour de nouvelles aventures…

Matériel utilisé lors de notre voyage de pêche en Patagonie

Waders respirant et chaussures de wading avec semelle Vibram de chez River Shoes, une qualité et une fiabilité au top (attention certaines rivières de Patagonie sont contaminé par la Didymo, pensez à bien désinfecter votre matériel au retour)

Pour l’habillement, il faut faire simple mais efficace : pantalon de randonnée, tee shirt respirant (manche longue), polaire, casquette, buff, veste étanche (Patagonia River Salt Jacket) et on n’oublie pas les indispensable : créme solaire, stick pour les lévres, anti moustique…

Comment choisir les bons leurres ?

Nous avons longuement préparé notre sélection de matériel de pêche, on a manqué de rien mais je conseille de prendre beaucoup de leurres de rechange. Car avec tant d’heures de pêche et des rivières grandes et encombrées, les pertes sont importantes. Quelques magasins existent maintenant dans les villes principales et peuvent dépanner mais le matériel disponible n’est pas toujours très adapté à notre façon de pêcher. 

Voilà ci-dessous une petite liste des modèles qui ont bien marché. Encore une fois les teintes naturelle et argentées ont été pour nous les plus efficaces :

• Smith D Contact 63/72/85
• D Incite 53/64
• Jackson Meteora 80
• Ondulante Smith Pure de 5 à 13 g
• LS en 2 et 3’’ et des têtes plombées de 5 à 10g

Partir avec les bonnes cannes à leurres

La sélection de cannes à leurres pour notre voyage se composait de :

• Smith Dragonbait Trout Large Stream
• Smith LagLess Boron 63 DT
• Canne Smith LagLess Boron 73 DT
• Smith NX4 Medium Versatile 2 (pour le Saumon)

Pour le moulinet des tailles 2500 sont suffisante pour la recherche des truites.

Pour le fil opter soit pour un nylon en 20 /25 °° ou de la tresse, partez alors sur du 0.8 / 1 Pe et prévoyez du Fluoro costaud pour vos bas de ligne 7 à 10 Lbs !

Bien sûr si vous souhaitez vraiment traquer spécifiquement le Saumon, il faudra partir sur du matos encore plus gros.

Retrouvez ce matériel et des conseils sur ma boutique en ligne Leurrestruites.com

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Magnifique article! Une destination qui fait rêver!

Bonjour c est tres beau et ca donne envie avec deux copains on aimerai vivre la meme aventure surtout barouder et eventuellement la toile de de tente et envisager l ebergement chez l habitant quel zone et conseil pourrriez vous me prodiguer cela fait un mois que je prepare avec des infos piochees ici et la

Bonjour Beltran C’est effectivement une belle destination et tu as raison de préparer longtemps en amont c’est la clef du succés. La Patagonie est très vaste et les zones a prospecter très importante, La carretara Austral est l’axe principal et permet assez facilement de changer de zones et de vallée mais les distances posent rapidement des soucis !! Le long de cet axe les Cabanas sont bien présente. On travaille nous aussi a notre projet 2022, au plaisir d’en reparler plus longuement A bientôt Christophe de LeurresTruites.com

Bonjour christophe suite a notre dernier entretien je reviens vers toi j ai regarde ton dernier reportage et j aimerais que tu m indiques les zones que tu as frequente et eventuellement les adresse des cabanas ou tu as loge je reviendrai ver d avances toi pour commander quelques leurres et cueilleres ondulantes si tout se passe bien notre voyage est prevu debut fevrier merci

Bonsoir Jean Paul Je vois que ton projet de voyage en Patagonie avance bien ! Le choix du positionnement de la cabanas est primordial et pour ça je me répète mais il faut vraiment bien repérer son séjour surtout si vous partez seul ! Personnellement, j’adore ce travail en amont qui fait pour moi complétement partie du voyage et permet de déjà se projeter… Je reste à ta disposition pour en reparler ! A très bientôt, bon travail et d’avance bonnes fêtes Christophe de LeurresTruites.com

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Il n'y a rien de mieux au monde que d'établir une connexion avec un poisson sauvage. la recherche de cette sensation (et de ces poissons) nous inspire et inspire nos équipements. c'est pourquoi nous soutenons et célébrons les pêcheurs infatigables et les groupes qui se battent pour la protection des poissons sauvages et des eaux pures que nous aimons., coup de projecteur sur la communauté : amy bowers cordalis.

En tant qu'avocate de la tribu Yurok et fondatrice du groupe de conservation indigène Ridges to Riffles, Amy Bowers Cordalis a joué un rôle déterminant dans le démantèlement des barrages installés sur le fleuve Klamath. Pour la voir en action, regardez Undammed , un film sur le combat pour libérer le fleuve Klamath.

Le saumon a une signification très importante pour la tribu Yurok, dont les terres ancestrales bordent le fleuve Klamath en Californie. En 2002, une crise écologique causée par les températures élevées de l'eau et par une maladie liée aux barrages a entraîné la mort de plus de 65 000 saumons chinook adultes dans le fleuve Klamath. Amy Bowers Cordalis, membre de la tribu Yurok, travaillait alors comme technicienne spécialiste des poissons sur le fleuve Klamath. Cet événement a été déterminant pour Amy qui a alors décidé de poursuivre une carrière en droit afin d'éviter de telles catastrophes à l'avenir.

Depuis, Amy s'est engagée à défendre les intérêts de sa communauté, en particulier dans la lutte pour le démantèlement des barrages sur le fleuve Klamath et la restauration de son cours naturel. Après avoir été avocate de la tribu Yurok et de l'organisation Native American Rights Fund, elle dirige aujourd'hui Ridges to Riffles Indigenous Conservation Group , une organisation qui se consacre à l'autonomisation des communautés indigènes dans la conservation et la revitalisation de leur patrimoine naturel et culturel. Grâce à ses efforts, aux côtés de beaucoup d'autres, le fleuve Klamath connaît actuellement le plus grand projet de démantèlement de barrages de l'histoire.

Photos : (En haut) Amy Bowers Cordalis chez elle dans les eaux du fleuve Klamath. SHANE ANDERSON (En bas) Le temps qu'il a fallu pour que les machines démontent le Copco 2 Dam sur le fleuve Klamath n'est rien comparé au temps, aux personnes et aux efforts qu'il a fallu déployer pour que le démantèlement ait lieu. SWIFTWATER FILMS

« Nous nous battons pour la préservation des poissons et des rivières. Beaucoup parmi nous consacrent leur vie d'adulte à la poursuite de ce combat historique. »

Pêche à la mouche.

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Histoires Fly Fishing

Protéger les poissons sauvages des barrages défectueux, des écloseries désastreuses et des enclos à filets toxiques..

Comme si pousser les saumons et les truites arc-en-ciel à l'extinction n'était déjà pas assez grave, les barrages contribuent au changement climatique en émettant des gaz à effet de serre dans l'atmosphère. Malgré ce que des décennies de greenwashing ont voulu nous faire croire, les barrages ne produisent pas une énergie propre, verte ou bon marché, ils sont aussi inefficients qu'inutiles.

Découvrez-en plus sur les personnes qui ont fait tomber les barrages de la rivière Klamath.

Lire l'histoire

Photo : Le bassin de la rivière Columbia est étouffé par 211 barrages qui ont éliminé 2250 km, soit 40%, de frayères. Ainsi, 13 populations de saumons et truites arc-en-ciel sauvages sont au bord de l'extinction. ECOFLIGHT

Au cours des 20 dernières années, le gouvernement fédéral a dépensé des milliards de dollars issus des impôts pour soutenir des écloseries en difficulté. En se reproduisant et en entrant en concurrence avec les poissons sauvages, les 5 milliards de poissons d'écloserie chaque année n'ont pas stoppé le déclin des saumons et des truites arc-en-ciel. Ils n'ont fait qu'empirer le problème.

Découvrez pourquoi la meilleure écloserie est une rivière saine.

Photo : Il y a près de 250 écloseries de la Californie à l'Alaska. Avec les écloseries en Russie, au Japon et en Corée du Sud, plus de 5 milliards de poissons d'écloserie sont lâchés chaque année. Le résultat ? Une génétique diluée, des rendements en déclin et des ressources gaspillées. BEN MOON

Des entreprises tentent d'élever des saumons et des truites arc-en-ciel dans des parcs à filets ouverts depuis que nous existons. Pendant ces cinq décennies, nous avons défendu les poissons sauvages. Nous poursuivrons cette lutte jusqu'à ce que cette industrie de parcs ouverts infestés de vermine, qui polluent les océans, fasse faillite.

Découvrez-en plus sur les menaces que représentent les fermes piscicoles et les écloseries.

Regarder le film

Photo : Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? Les saumons génétiquement modifiés des parcs à filets éclosent dans des bassins, sont jetés dans des enclos, nourris avec des granulés, gavés de médicaments, épouillés et teints en rose. Bon appétit ! CORIN SMITH

Enclos à filets

Des équipements durables testés en rivière..

Nous garantissons tous les produits que nous fabriquons.

Nous assumons la responsabilité de notre impact.

Nous soutenons l'activisme de terrain.

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Nous reversons nos bénéfices à la planète.

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Patagonie Argentine Chili

Pérou Bolivie Équateur

• Sorties de pêche

Un sport passionnant dans des décors saisissants

• Borispatagonia

Beaucoup ne viennent en Patagonie que pour pêcher. En effet, multitudes de lacs et de rivières, aux eaux limpides font le grand bonheur des adeptes de ce sport.

Pêche à la ligne ou à la mouche , les différentes formules ne manquent pas. De nombreuses estancias proposent également des activités liées à la pêche. Vous serez alors au cœur de milliers d’hectares rien que pour vous, avec votre guide. Vous aurez aussi le privilège de pêcher en Terre de Feu , sur le Río Grande , où les plus grosses truites du monde vous attendent. Voici quelques exemples de sorties de pêche que je vous propose, sachant que bien d’autres parties de pêche sont possibles et dans d’autres régions que celles présentées ci-dessous.

Sortie de pêche exclusive

• Lacs Moreno et Nahuel Huapi

Circuit pêche et découvertes

Excursion exclusive et peu connue. Au départ de Bariloche, on commence par le Lago Moreno Este, Lago Moreno Oeste, Lago Morenito, Isla Conejo, Bahia López, Lago Nahuel Huapi et Brazo Tristeza. A midi, est organisé un repas typique au bout du « Brazo Tristeza », qui est une zone sauvage et vierge de toute présence humaine.

Ensuite, une promenade à pied aux milieux d’arbres imposants natifs de la région, jusqu’à la Cascada Frey. Il est possible aussi, en option, d’aller jusqu’au lac Frey, d’y camper et d’y pêcher. Le décor entre les falaises et le vol des condors est grandiose… Inoubliable !!!

Pêche à la mouche en Patagonie

La vallée enchantée

La rivière Limay est l’une des plus connue de par sa splendeur et ses qualités pour la pêche à la mouche. Pour cette sortie, on navigue sur la rivière Limay « El Río Limay » pour pêcher en différents points de la rivière, tout près de Bariloche à Valle Encantado .

Je vous propose les meilleures conditions pour cette sortie de pêche à la ligne avec un service exclusif. Sur une grande portion privée de la rivière Limay, vous serez accompagné d’un guide qui vous conseillera. Vous aurez aussi la possibilité de passer la nuit dans une Estancia très proche pour rester plongé dans cet agréable milieu ambiant de nature. Une activité exclusive de Borispatagonia !

Pêche en lacs et rivières

• Ríos y Lagos

Les lacs et rivières de Bariloche

Dans la zone de San Carlos de Bariloche , il y a une multitude d’endroits paradisiaques pour les amoureux de la pêche. Il y en a pour tous les goûts et les programmes peuvent se faire sur mesure, selon votre volonté.

Pêcher dans les lacs et les rivières des environs de Bariloche est inoubliable et comblera de satisfaction tous les passionnés.

Pêche et panoramas

Lac andin d’origine glaciaire

Sans aucun doute, un paradis pour les fanatiques de la pêche : le lac Fonck… l’accès se mérite car il faut obligatoirement un 4×4 ou de bonnes jambes pour effectuer les 5 derniers kilomètres. Une fois au lac Fonck , il n’y a que la pêche comme activité, éventuellement une balade en bateau…

En plus d’être un lieux formidable pour pratiquer la pêche sportive au saumon, il y a de très belles vues sur le volcan Tronador , c’est donc le top du top – pour ceux qui veulent le meilleur de la pêche !

Pêche en Terre de Feu

• La Terre de Feu

De rivière en rivière

La Terre de Feu , c’est une destination unique, la terre d’ Ushuaïa , où la lumière va vous surprendre du lever au coucher du soleil, où les hommes vont vous séduire par leur simplicité, leur travail et leurs fêtes, où la nature peut vous enchanter tant elle est différente de tout ce que vous connaissez.

Vivre la plus belle pêche de sa vie, celle dont on rêve… Partager la passion de la pêche à la truite – Camper de río en río en tentes individuelles – Échanger, le soir, autour du feu de bois – S’adapter, à la nature, aux rencontres – Parcourir cette terre du bout du monde en 4×4 – Découvrir des paysages uniques avec un guide fuégien.

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Pêche à la mouche en Patagonie chilienne

Séjour de pêche dans les rivières de Patagonie chilienne

Santiago, puerto montt, puelo, chaitén, futaleufú, valparaiso., jour 1 : vol international / arrivée à santiago.

JOUR 2 : SANTIAGO / PUERTO MONTT / TRAVERSÉE EN FERRY DE CALETA ARENA À CALETA PUELCHE / ANDES LODGE

DESCRIPTIF : vous quittez Santiago dans la matinée pour prendre un vol vers Puerto Montt , en route vers votre voyage en Patagonie . Après une heure quarante de vol, vous atterrissez dans la capitale de la région de Los Lagos . Vous rencontrez votre chauffeur, et prenez la célèbre route n°7 longeant le golfe d’Ancud , en croisant plages et anses sur le chemin. Vous traversez l’ estuaire du fjord Reloncavi en ferry et depuis Caleta Puelche vous arrivez à Andes Lodge quelque 40 km plus tard. Vous êtes immédiatement sous le charme de cet endroit au parfum de bout du monde . Au cœur d’une région où la nature a su rester sauvage, l’endroit dispose de tout le confort nécessaire pour pouvoir souffler entre deux parties de pêche. Vous profitez de la fin de la journée pour vous imprégner de la majesté du lieu, et du coucher de soleil sur les montagnes environnantes. DISTANCE et DURÉES : à Santiago 30 à 45 minutes pour l’aéroport. Puis 61 km / 1h10 entre l’aéroport de Puerto Montt et Caleta la Arena. 30 minutes de traversée en ferry. Enfin, 30 km en piste / 55 minutes de Caleta Puelche à Andes lodge via la V-69. DEJEUNER, DÎNER et NUIT  : hôtel Andes Lodge .

JOUR 3 : JOURNÉE PÊCHE / ANDES LODGE

JOUR 4 : JOURNÉE PÊCHE / ANDES LODGE

JOUR 5 : JOURNÉE PÊCHE / ANDES LODGE

JOUR 6 : JOURNÉE PÊCHE / ANDES LODGE

JOUR 7 : PUELO / COCHAMO / VOL PRIVÉ DE PUERTO MONTT À FUTALEUFÚ / FUTA LODGE

DESCRIPTIF :  vous quittez tôt dans la matinée le lodge. Après un dernier regard pour les paysages somptueux de Reloncaví, vous prenez la route vers Puerto Montt , en passant cette fois par Cochamó et Ralún . Sur la route, les montagnes s’estompent peu à peu. Vous apercevez le volcan Osorno et ses neiges dominant le lac Llanquihue , qui forment un contraste saisissant. À Puerto Montt, vous embarquez pour un vol de 1 heure à destination de Fulaleufú . Celui-ci est une occasion unique de réaliser la majesté de cette région, avec lacs, rivières, forêts et volcans coincés entre le Pacifique, l’île de Chiloé et les Andes. Vous survolez le parc national Pumalin , le volcan Michinmahuida , le parc Corcovado et le lac Yelcho , entre autres. Vous arrivez au village de Futaleufú, encore quelques kilomètres dans les montagnes, non loin de la frontière argentine, et vous êtes au lodge. Un endroit retiré, une région magnifique. Une nouvelle aventure commence. DISTANCES et DURÉES ROUTE + AIR : 146 km / 2h30 de Puelo à l’aéroport de Puerto Montt, via Cochamo. 220 km à vol d’oiseau / 1 heure de vol de Puerto Montt à Futaleufu. 8 km / 17 minutes de l’aérodrome de Futaleufu à Futa lodge. ALTERNATIVE PAR AIR PUELO / FUTALEUFU : 14,5 km / 20 minutes de route du lodge jusqu’à l’aérodrome de Puelo Bajo. 176 km à vol d’oiseau / 40 minutes de vol de Puelo à Futaleufu. 8 km / 17 minutes de l’aérodrome de Futaleufu à Futa lodge. ALTERNATIVE FERRYS + ROUTE : 84 km / 1h45 de Andes lodge à Hornopiren par la n°7. Présentation au ferry 1 heure avant l’appareillage. Traversée en ferry d’Hornopirén à Leptepu, 3h30. Leptepu à Fjordo Largo, 10 km de piste / 15 minutes. Traversée en ferry de Fjordo Largo à Caleta Gonzalo, 45 minutes. Puis 56 km / 1 heure de route de Caleta Gonzalo à Chaitén. Enfin, 159 km / 2h30 entre Chaitén et Futa lodge. DÉJEUNER, DÎNER et NUIT  : hôtel Futa Lodge .

JOUR 8 : JOURNÉE PÊCHE / FUTA LODGE

JOUR 9 : JOURNÉE PÊCHE / FUTA LODGE

JOUR 10 : JOURNÉE PÊCHE / FUTA LODGE

JOUR 11 : JOURNÉE PÊCHE / FUTA LODGE

JOUR 12 : VOL PRIVE DE FUTALEUFÚ A PUERTO MONTT / VALPARAISO

DESCRIPTIF :  après dix journées riches en pêche et en rencontres, il est temps, bien à regret, de revenir doucement sur terre. À l’heure convenue, vous gagnez l’ aérodrome de Chaitén , pour un vol d’une heure environ à destination de Puerto Montt , puis un autre de 1h40 vers Santiago . Votre chauffeur vous attend pour vous conduire à Valparaiso . Après installation à l’hôtel, vous pouvez commencer à explorer cette ville classée au Patrimoine mondial par l’Unesco, par exemple ses collines escarpées reliées au port par de pittoresques ascenseurs et funiculaires , ses petites rues aux maisons multicolores dominant une large baie, son atmosphère bohème. DISTANCE et DURÉE : 8 km de Futa Lodge à l’aérodrome de Futaleufú. Puis, 116 km / 1h20 de l’aéroport SCL à Valparaiso. DÉJEUNER et DÎNER : libres. Avec le roadbook, nous vous remettrons notre sélection de restaurants à Valparaiso. NUIT : hôtel Boutique Alto Mirador .

JOUR 13 : VALPARAISO / VOL INTERNATIONAL

DESCRIPTIF : jusqu’à l’heure du départ pour l’aéroport, vous pouvez continuer votre visite de Valparaiso. À l’heure convenue, vous prenez la route de l’aéroport international de Santiago pour votre vol transatlantique. DISTANCE et DURÉE : 116 km / 1h20 de Valparaiso à l’aéroport de Santiago. Compter 2 heures, par sécurité. DÉJEUNER : libre. DÎNER et NUIT : dans l’avion.

L’avis de Chile Excepción : un voyage inoubliable pour les pêcheurs passionnés, qui peuvent pratiquer la pêche à la mouche dans des zones réputées pour leurs truites Faro et Arc-en-Ciel, mais aussi pour le saumon Royal, le fameux Chinook. Vous êtes accompagnés de guides bilingues, fin connaisseurs de la région et des spécificités de la pêche dans cette partie du globe, avec un guide pour deux pêcheurs maximum. Un programme également conçu pour les amoureux de la nature, qui découvriront la région de Los Lagos et ses décors somptueux de lacs, rivières, torrents, volcans, forêts primaires et glaciers.

Ne comprend pas

Saison : Andes Lodge est ouvert de septembre à mai, Futa Lodge est ouvert de mi-décembre à mi-avril.

Durée du circuit sur place : 13 jours / 12 nuits en 2 lodges de pêche et 2 hôtels.

Pension : 12 petits-déjeuners, 10 déjeuners et 10 dîners

Vols internationaux : ils ne sont pas inclus dans le prix.

Vols réguliers : Santiago > Puerto Montt et Puerto Montt > Santiago

Vols privés : Puerto Montt > Chaitén et Chaitén  > Puerto Montt.

Transports terrestres : transferts inclus.

Assistance d’un guide : dans les lodges de pêche, vous serez accueillis et assistés par des guides de pêche professionnels hispanophones et anglophones. Pour les sessions de pêche, 2 pêcheurs maximum pour un guide.

Coût pour les accompagnants non pêcheurs :  un tarif spécial est applicable, nous consulter.

Votre équipement :  pour toute question sur l’équipement nécessaire (cannes, moulinets, appâts…), nous consulter. Les lodges pourront vous prêter du matériel le cas échéant. Ceux-ci possèdent également des boutiques de pêche.

Remarques :  politique stricte du catch and release dans les deux lodges.

Activités hors pêche :  de nombreuses activités sont proposées, comme le cheval, le trekking, le kayak, le rafting (coût supplémentaire, nous consulter).

Coût financier : il dépend du nombre de voyageurs. Voir prix en haut de cette colonne (prix par personne, sur une base de 2 pêcheurs en chambre double).

• – Confort
• Établissements à la localisation pratique. Sobres et de bonne tenue, ils promettent une étape plaisante.
• – Charme
• Ces hôtels et estancias de caractère ont été sélectionnés pour la qualité des lieux et leur attention aux hôtes.
• – Exception
• Ces établissements élégants, raffinés et haut de gamme forment des étapes inoubliables pour un voyage épicurien.

• 1 réunion d’information à Santiago, à votre hôtel
• 1 roadbook composé du programme détaillé, cartes routières, plans d’excursions
• 2 vols réguliers : Santiago > Puerto Montt et Puerto Montt > Santiago, en classe Eco
• 2 vols privés : Puerto Montt > Chaitén et Chaitén  > Puerto Montt.
• Taxes aéroportuaires
• 12 nuits réparties en 4 hôtels (10 nuits en lodge de pêche)
• 12 petits-déjeuners, 10 déjeuners et 10 dîners
• Les boissons dont le vin de la maison, aux repas inclus
• A Santiago et Valparaiso, chauffeur hispanophone privé dans les cas des 4 transferts aéroport
• En Patagonie, chauffeur hispanophone privé dans les cas de tous les transferts aéroport et lodge.
• Dans les lodges de pêche, guides de pêche professionnels hispanophones et anglophones. 2 pêcheurs maximum pour 1 guide.
• Usage libre de bicyclettes, kayaks, hot tub et sauna.
• Permis de pêche
• Le suivi opérationnel 7J/7

• Les vols internationaux
• Les déjeuners et dîners dits « libres » dans le descriptif
• Le matériel de pêche
• Les activités autres que la pêche (cheval, trekking guidé, rafting,…)
• Les idées d’excursions suggérées dans les rubriques « Que faire? »
• Les massages dans les spa des hôtels
• Les dépenses personnelles, téléphones, médicales et sollicitudes de dernier moment
• Les pourboires
• Les services non mentionnés dans le chapitre « notre prestation comprend »

AUTRES CIRCUITS DÉCOUVERTES

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Séjours de pêche en Patagonie Chilienne

Un pêcheur de salmonidés n’oublie jamais la Patagonie!

Sauvage, immense, la terre de feu sublime l’élément qui nous passionne : l’eau. accueillis à votre arrivée dans la ville de coyhaique, vous passerez votre séjour dans le nouveau lodge du rio norte, au bord d’une très belle rivière à truite et vous serez guidés hors des sentiers battus pendant l’intégralité de votre séjour dans ce pays magnifique afin de pêcher de belles truites farios combatives, des arcs en ciel acrobates et pourquoi pas un saumon king record. de nombreuses excursions guidées, au départ de coyhaique, permettent aux accompagnants de vivre également une aventure inoubliable. rodolphe avizou..

Offre spéciale haute saison 2023-2024 - click ici

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Plusieurs choix possibles

D'une simple journée de guidage à 8 jours de pêche. Inclus : Hébergement, repas, boissons, matériel, guidage, véhicule.

Une pêche extraordinaire

Des parcours sauvages et variés, un guide expérimenté, des paysages à couper le souffle, une densité de poisson incomparable!

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Un lieu exceptionnel

La Patagonie est une région immense, longue de plus de 1000km du Nord au Sud. Venez découvrir ce pays de lacs, montagnes abruptes, glaciers, forêts !

Votre lodge unique

Isolé dans une superbe vallée et situé en bordure d’une rivière richement peuplée en truites farios, le lodge vous offre une immersion totale avec la nature environnante.

La Patagonie qui est une région immense, longue de plus de 1000km du Nord au Sud. Venez découvrir ce pays de lacs, montagnes abruptes, glaciers, forêts !

Isolé dans une superbe vallée et situé en bordure d’une magnifique rivière richement peuplée, le lodge vous offre une immersion totale avec la nature environnante.

Isolé dans une superbe vallée et situé en bordure d’une magnifique rivière richement peuplée en truites farios, le lodge vous offre une immersion totale avec la nature environnante.

Pour votre séjour idyllique

Un lodge sur place.

Depuis chez nous, la rivière la plus proche, vous est accessible à pied !

La restauration

Petit-déjeuner, pique-nique et diner copieux sont organisés chaque jour.

Le matériel

Moulinets, cannes haut de gamme, float-tubes vous sont fournis.

|    Pêche Patagonie - COYHAIQUE - CHILI     |

Copyright © Tous droits réservés.

Travelers and fish

• Patagonie argentine
• Réglementations

Pêche en Patagonie Argentine

La Patagonie s’étend   sur 1,4 million de km2 (soit presque 3 fois la France), dont plus de 80 % en Argentine . Climats contrastés, densité de population extrêmement faible, territoires encore inexplorés (ou tout du moins préservés), populations de poisson bien présentes… bref, une destination de rêve pour les pêcheurs aventuriers !

Cette fiche s’intéresse exclusivement à la partie argentine de la Patagonie.

Généralités sur la réglementation  en Patagonie 

La réglementation de pêche pour 2019-2020 peut se consulter sur reglamento de pesca . Une  brochure de pêche pour la Patagonie peut également consulter en ligne : il s’agit du  document de référence .

La saison de pêche s’étend du 1 er novembre 2019 au 1 er mai 2020 inclus (des exceptions peuvent exister pour certains cours d’eau : se référer aux annexes de chaque province pour en savoir plus).

Tout saumon atlantique capturé doit être immédiatement remis à l’eau . Les espèces autochtones suivantes doivent également être remises à l’eau : peladillas ( Aplochiton zebra  y  A. teniatus ), bagres ( Hatcheria macraei  y  Diplomystes spp .), lampreas ( Geotria spp .) et puyenes ( Galaxias maculatus  y  G. platei ).

La réglementation générale de pêche stipule que la  pêche doit se pratiquer avec un leurre artificiel muni d’un seul hameçon (simple, double ou triple). Lorsque l’on souhaite utiliser un leurre avec plus d’un hameçon, il faut les faire disparaître ou les rendre « inutilisables », de telle sorte qu’ils ne puissent pas se planter dans les poissons. Des exceptions pour certains cours d’eau peuvent exister concernant ces techniques de pêche autorisées.

Sur les zones « de remise à l’eau obligatoire »  (= « devolución obligatoria ») seule l’utilisation d’un hameçon simple est autorisée , sans ardillon ou avec ardillon écrasé.

Pour les pêcheurs qui rentrent dans le pays, il est obligatoire d’utiliser de nouveaux équipements ou des équipements désinfectés. Des conseils de désinfection sont donnés en dernière page du guide. L’algue invasive «  Didymosphenia geminata  » a en effet récemment été découverte en Patagonie.

Où pêcher en Patagonie

Province de neuquén.

La réglementation spécifique pour Neuquén peut se consulter ici (avec en bas de page la liste des cours d’eau faisant l’objet de règles spécifiques).

Dans les espaces naturels protégés de la Province («  Areas Naturales Protegidas Provinciales  »), il est obligatoire de remettre à l’eau toutes les espèces de poisson autochtones (dont perches, « pejerrey patagonico », le bagre, etc.).

Le « sacrifice » de salmonidés est interdit dans la province (sauf exception particulières). Il est donc rigoureusement interdit de prélever des saumons atlantiques ou des saumons d’eau douce .

Pour le reste : il est permis de prélever 2 perches par jour, 20 exemplaires de pejerrey (sur les parcours autorisés*). Il n’y a pas de limites de prises pour la carpe, considérée comme espèce invasive au taux de reproduction élevé.

*La pêche du pejerrey est seulement autorisée sur certains secteurs, et avec des équipements et techniques spécifiques.

Il existe des « zones préférentielles » et des permis additionnels. Par exemple pour pêcher sur les rios Chimehuin et Correntoso (zone préférentielle I – Boca), il est nécessaire de se munir d’un permis particulier en supplément du permis ordinaire . Ce permis coûte 190 $ la journée (pesos argentins), 380 $ la semaine ou 760 $ la saison.

A noter qu’en début de saison, il est recommandé de ne pas traverser les rivières au mois de novembre , afin de ne pas endommager les zones de frai.

Toutes les informations sur la pêche sportive dans cette province sont à retrouver sur Neuquén Patagonia Argentina  : par exemple des précisions sur les lieux de vente de permis , ou une liste d’une grosse  centaine de guides de pêche .

Santa Cruz, en Patagonie

La réglementation spécifique pour Santa Cruz peut se consulter ici (en bas de page : liste des cours d’eau faisant l’objet de règles spécifiques).

La pêche à la traîne, ou avec hameçons triples, est interdite dans la province de Santa Cruz.

Pendant les périodes de pêche avec remise à l’eau obligatoire, la pêche avec hameçon simple sans ardillon est obligatoire. Pour cette province, il est seulement possible de prélever un poisson par jour et par pêcheur (sauf exception) ; il est seulement possible de transporter un poisson par pêcheur (quelle que soit la durée de la sortie de pêche).

Terre de Feu

Les règles de pêche sportive pour la province de Tierra del Fuego peuvent se consulter sur le site du SIPED (Sistema de Información de Pesca Deportiva de la Provincia de Tierra del Fuego).

Les autorités souhaitent réguler la pression de pêche et protéger la ressource halieutique sur le Rio Grande  : un nombre maximal journalier de cannes à pêche est défini pour ce cours d’eau. Un système de coto est également mis en place sur certains secteurs.

Pour cette province, il est seulement possible de prélever un poisson par jour et par pêcheur (sauf sur les zones où la remise à l’eau du poisson est obligatoire) ; il est seulement possible de transporter un poisson par pêcheur.

2 mesures de conservation spécifiques s’appliquent à cette province :

• remise à l’eau obligatoire des truites arc-en-ciel jusqu’au 1 er janvier 2020 ;
• remise à l’eau obligatoire des ombles de fontaine à partir du 1 er mars 2020.

Voici les principales techniques de pêche autorisées sur la plupart des cours d’eau : pêche au leurre artificiel, à la cuillère, à la mouche . Pour toutes les techniques, il faut utiliser un seul leurre artificiel, avec un unique hameçon (simple ou double). L’ utilisation d’hameçons triple est donc interdite . Certains lacs ou cours d’eau sont des parcours mouche avec remise à l’eau obligatoire.

La pêche à la traîne est également interdite à partir d’une embarcation en mouvement, quel que soit le type de leurre.

Il est recommandé de ne pas traverser les rivières Milna, Tuerto, Turbio, Valdez, Subiabre, Bombilla, Margarita et Palacios pendant les mois de novembre et décembre, afin de ne pas endommager les zones de frayère de truites arc-en-ciel.

Le prix des permis pour pouvoir pêcher en Terre de Feu diffère de celui des autres provinces. Pour les non résidents, le permis coûte : 1087 pesos argentins par jour, 2739 pesos pour 3 jours, 4391 pesos pour une semaine, ou 5848 pesos pour la saison (respectivement 16€30 la journée, 41€ pour 3 jours, 66€ la semaine ou 88€ par saison- conversion faite en février 2020, attention ces cours sont très changeants actuellement en Argentine…).

Il existe d’autres types de permis :

• le « sin cargo » (sans charge) qui autorise seulement la pêche avec remise à l’eau ;
• le permis pour la pêche en « zones préférentielles » : permis supplémentaire mis en place par la province pour certains secteurs.

Des informations générales sur la pêche en Terre de Feu sont à retrouver sur Patagonia.com  : à lire avant le départ (notamment quelques précisions sur les cotos ou parcours privés).

À parcourir également : flyfishingUshuaia . Ce site propose aussi des informations sur les lacs Escondido et Fagnano, sur la pêche dans certaines lagunes, des précisions sur les cotos (même si l’actualisation du site ne semble pas récente, donc les informations restent à vérifier).

Rio Negro, en Patagonie

La réglementation spécifique pour Rio Negro peut se consulter ici . Pas beaucoup d’exception à la réglementation générale à relever.

Quelques informations générales sur la pêche dans cette province sont à retrouver sur Argentina Turismo .

La réglementation spécifique pour Chubut peut se consulter ici .

À noter, par exemple, que la pêche de l’omble de fontaine ferme le 1 er mars 2020 . Toutes les « truchas de arroyo o fontinalis » doivent donc être remises à l’eau à partir de cette date. Il était par ailleurs recommandé de ne pas traverser les rivières jusqu’au 15 décembre de chaque année  .

Il est formellement interdit d’utiliser des ardillons sur les hameçons , quelle que soit la technique de pêche utilisée.

Sauf exceptions spéciales listées dans l’annexe de la réglementation (et sauf parcours sans tuer), les limites de capture sont les suivantes : 1 salmonidé, 2 perches et 4 Pejerreys par jour et par pêcheur .

Parques Nacionales del Sur

La réglementation spécifique pour les parcs Nationaux du Sud peut se consulter ici . Les seuls endroits autorisés pour la pêche sont mentionnés dans cette annexe de la réglementation générale.  Pour chacun des parcs, des précisions sur la réglementation sont proposées, puis l’ensemble des exceptions sont listées pour chaque cours d’eau et plan d’eau.

À noter, par exemple, que la navigation et la pêche sont interdites dans le Parc National Perito Moreno . La pêche est également interdite sur tous les plans d’eau du Parc National Tierra del Fuego, à l’exception du lac Fagnano.

Pour le Parc National Laguna Blanca , la pêche est autorisée entre le 1er avril et le 31 octobre 2020 sur 3 différents secteurs de la Laguna Blanca (cf. carte de la brochure de pêche en page 49). La pêche est interdite sur les autres plans d’eau.

Permis de pêche en Patagonie

Pour les pêcheurs étrangers qui ne résident pas en Argentine, le permis coûte 1140 $ par jour (pesos argentins), 3040 $ par semaine et 4560 $ la saison (environ respectivement 17 €, 46 € et 69 €, au taux de change de février 2020). A noter que pour la province Tierra del Fuego, le système de permis est différent (consulter la partie plus haut consacrée à cette province).

Un permis supplémentaire est nécessaire pour la pêche à la traîne : 380 $ par jour, 760 $ la semaine, 1520 $ la saison (respectivement 5.70 €, 11.40 €, 23 € environ).

Il existe d’autres types de permis selon les provinces (additionnel, social, de « courtoisie », « protocolaire »…).

  Liens vers infos utiles 

Des informations à aller chercher sur Pesca Argentina  : par exemple de très nombreux contacts de guide de pêche, et certains récits de pêche selon certaines catégories (mouche, lacs, mer, rivières, etc.).

L’ Association argentine de Pêche à la Mouche propose un site dédié à la mouche dans ce pays : aapm (cette structure est notamment active pour la diffusion des réglementations de chaque province).

Vous pourrez par ailleurs consulter sur cet article de Travelers & fish les règles de pêche qui s’appliquent au Chili voisin.

Vous aimerez aussi : récit de pêche

Ils parlent de la Patagonie argentine…

• Pendant 10 mois, du nord au sud, Laura et Seb ont parcouru l’Amérique latine, poussés par leur amour des grands espaces. C’est donc tout naturellement qu’ils nous amènent à la découverte de la Patagonie… c’est sur Les GlobeBlogueurs .
• Suivez les pas d’Amélie en Patagonie, rien que son atterrissage vaut le voyage Ma Maison sur mon Dos.
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Dernière mise à jour de l’article le 9.02.2020.

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