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Voyager avec mes médicaments : Nouvelle modalité de transmission

Vous résidez en france et vous vous apprêtez à voyager à l’étranger.

• Les médicaments stupéfiants ou assimilés stupéfiants font l’objet de contrôle dans de nombreux pays, notamment les médicaments de substitution aux opioïdes (MSO), certains antalgiques, les médicaments indiqués dans les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité.
• Liste non exhaustive des molécules pour lesquelles une attestation de transport est souvent requise : buprénorphine haut dosage (BHD), fentanyl, hydromorphone, méthadone, méthylphénidate, morphine, oxycodone.

Si vous voyagez dans un pays de l'espace Schengen

• Vous devez contacter l’ARS de la région où votre médecin prescripteur est enregistré pour obtenir une attestation. Vous trouvez les coordonnées sur www.ars.sante.fr ;
• Liste des pays membres de l’espace schengen : Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie,  Finlande, France, Grèce, Hongrie, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.

Si vous voyagez dans un pays situé en dehors de l'espace Schengen

• L’ANSM est l’autorité compétente pour la délivrance des attestations de transport. (Consultez la procédure pour solliciter une attestation de transport à l’ANSM)
• Pour savoir si le pays de destination exige une attestation de transport pour votre traitement, référez-vous au site internet de l’Organe International de Contrôle des Stupéfiants (OICS) .
• remplissez le formulaire internet ci-dessous, 
• transmettez votre ordonnance sécurisée scannée via ce même formulaire en cliquant sur parcourir, 
• le formulaire et l’ordonnance nous seront transmis dès que vous aurez cliqué sur Envoyer .
• Si vous avez des questions concernant l’utilisation de ce formulaire, vous pouvez directement nous contacter via le formulaire de la page contactez-nous.

Vous entrez en France avec vos médicaments

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Voyager avec des médicaments en avion : Que dit la loi ?

5 octobre 2023

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Prendre l’avion avec des médicaments est une situation courante… Nombreux sont ceux qui ne peuvent pas se passer de leur traitement même durant un voyage. Que ce soit des médicaments vendus sur ordonnance ou en libre-service, il y a des réglementations spécifiques pour leur transport dans vos bagages à main et en soute.

Voyons ensemble quelles sont ces règles qui concernent principalement la sécurité, la quantité, ainsi que la documentation nécessaire !

Contenus de la page

Les règles générales concernant les médicaments dans un avion

Parmi les règles générales liées au transport des médicaments en avion, citons la présence d’une ordonnance ou d’un justificatif médical pour certains médicaments, ainsi que l’interdiction de transporter des médicaments sous forme liquide dans un bagage à main, sauf s’ils sont dans un sac plastique transparent d’un litre avec un volume total de 100 ml maximum.

Nous vous invitons d’ailleurs à lire notre article sur la réglementation des liquides en cabine !

Notez aussi la possibilité de transporter des médicaments solides dans un bagage à main sans restriction de quantité, la déclaration éventuelle des médicaments à la compagnie aérienne et le respect des limites imposées par certaines autorités nationales.

Dans tous les cas, nous vous conseillons de vous renseigner auprès de la compagnie aérienne avec laquelle vous voyagez et des autorités compétentes du pays de destination, afin d’éviter tout problème lors de votre voyage.

Les médicaments sur ordonnance

Certaines réglementations s’appliquent spécifiquement aux médicaments sur ordonnance, notamment la nécessité d’avoir une ordonnance récente (généralement pas plus de trois mois) à présenter en cas de contrôle, et ne voyager qu’avec la quantité nécessaire pour la durée de votre séjour, en tenant compte des doses prescrites .

Vous devez également conserver les médicaments dans leur emballage d’origine avec l’étiquette indiquant le nom du médicament, le nom du médecin, la posologie, la date de prescription et le nom du patient, ainsi que posséder un justificatif médical / attestation de nécessité pour certains médicaments soumis à contrôle, comme les produits contenant des opioïdes, des stupéfiants ou des psychotropes.

Si vous avez besoin de transporter des seringues pour administrer votre traitement, nous vous invitons à consulter la compagnie aérienne à ce sujet, car certaines imposent des restrictions spécifiques . Mais une chose est sûre : vous devez disposer d’une ordonnance précisant la nécessité d’utiliser ces accessoires médicaux.

Médicaments en vente libre et compléments alimentaires

Les médicaments en vente libre et les compléments alimentaires sont généralement autorisés en avion , à condition qu’ils soient placés dans votre bagage à main ou votre bagage en soute.

Nous vous conseillons de les conserver dans leur emballage d’origine, de vérifier les restrictions éventuelles concernant la quantité autorisée pour chaque produit, et de vous renseigner sur les réglementations locales qui peuvent varier d’un pays à l’autre.

Le cas des aliments diététiques et médicinaux spécifiques

Certaines catégories de voyageurs peuvent avoir besoin de transporter des aliments médicinaux, comme ceux prescrits pour le traitement du diabète ou de maladies métaboliques.

Dans ce cas, nous leur recommandons de prévoir une ordonnance ou une attestation médicale qui mentionne ces produits, de bien préserver les aliments, de préférence dans leur emballage d’origine, et de prévoir un sac isotherme si nécessaire pour les produits réfrigérés.

L’emport des médicaments liquides en cabine

Le transport de médicaments liquides en cabine est soumis à des règles spécifiques en raison des restrictions sur les liquides dans les bagages à main. Pour voyager avec des médicaments sous forme liquide, nous vous invitons à respecter la limitation des liquides à 100 ml par contenant et utiliser un sac plastique transparent de 1 litre pour les transporter.

Essayez aussi de prévoir un justificatif médical en cas de besoin de quantités supérieures aux limites autorisées, sans oublier d’informer la compagnie aérienne de votre situation et de demander une dérogation, si nécessaire.

Le transport de médicaments réfrigérés en cabine

Certains médicaments doivent être conservés au frais durant le trajet, comme l’insuline ou d’autres traitements injectables. Pour cela, nous vous conseillons d’utiliser un sac isotherme pour conserver la chaîne du froid pendant le vol.

N’hésitez aussi pas à demander à la compagnie aérienne s’il est possible de mettre vos médicaments dans leur réfrigérateur à bord (dans ce cas, il faudra les remettre au personnel naviguant avant le décollage). Nous vous rappelons de préparer un document médical justifiant la nécessité de ces conditions de conservation.

Rappelez-vous que chaque compagnie aérienne et pays peuvent avoir des règles spécifiques concernant le transport de médicaments en avion. Assurez-vous de vérifier les informations pertinentes auprès des organismes locaux et internationaux compétents pour éviter tout problème lors de votre voyage.

Vous aimeriez aussi : Le contrôle de douane dans un aéroport, comment le passer sans problème !

Salut les aventuriers ! Moi, c’est Julien le binôme de Nicolas votre guide de confiance pour tous vos périples. Passionné de voyage depuis mon plus jeune âge et diplômé de l’école supérieure de tourisme de Paris, j’ai exploré les quatre coins du monde et je suis ici pour partager mes découvertes avec vous. Où partir ? Quand partir ? Ne vous inquiétez pas, je suis là pour vous fournir des conseils avisés et des astuces de baroudeur éprouvées. Ensemble, faisons de chaque voyage une aventure inoubliable !

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Démarche Vous voyagez avec des médicaments

• Envoyer par email

Si vous transportez avec vous des médicaments lors de vos déplacements, la quantité transportée ne doit pas excéder un usage personnel correspondant soit à la durée de traitement prévue par l'ordonnance médicale, soit, à défaut d'ordonnance, à une durée de traitement de trois mois.

Quelle est la définition du médicament ?

Une marchandise est soumise à la réglementation des médicaments si   :

• elle est présentée comme étant un médicament (allégations thérapeutiques)   ;
• elle a une action pharmacologique, immunologique ou métabolique sur l’organisme.

L'article L 5111-1 du code de la santé publique définit comme médicament «   toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l'égard des maladies humaines ou animales   » (médicament par présentation) ainsi que «   toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l'homme ou chez l'animal ou pouvant leur être administrée, en vue d'établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique   » (médicament par fonction).

Vous rentrez en France avec des médicaments non stupéfiants et non psychotropes

Si vous voyagez avec vos propres médicaments, pour un usage personnel, vous devez respecter les conditions suivantes   :

• P rincipe : l a quantité transportée correspond à la durée du traitement prévue sur l'ordonnance ou, à défaut, à trois mois de traitement.
• J ustificatif : si la durée de traitement dépasse 3 mois , vous devez présenter l 'ordonnance du médecin à la douane.

Vous rentrez en France avec des médicaments stupéfiants ou psychotropes

Vous ne pouvez importer des médicaments stupéfiants ou psychotropes que si vous les transportez personnellemen t. Les quantités transportées doivent alors être compatibles avec un usage thérapeutique personnel pendant la durée de traitement prévue par l'ordonnance ou à défaut pour une durée d'un mois de traitement aux conditions normales d'emploi.

L'article 75 de la convention d'application de l'Accord de Schengen du 14 juin 1985 précise la réglementation applicable en fonction du pays de provenance.

Cas   1 - V ous venez d'un pays membre de l'espace Schengen   :

• Principe : la quantité transportée doit être compatible avec un usage thérapeutique personnel.
• Justificatif à présenter à la douane : l'autorisation délivrée par les autorités compétentes du pays de provenance est obligatoire.

L'Espace Schengen comprend   : Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.

Cas   2 - Vous venez d'un pays non membre de l'espace Schengen   :

• Principe : la quantité transportée est compatible avec un usage thérapeutique personnel.
• J ustificatif à présenter à la douane : l'ordonnance du médecin est obligatoire.

Cas 3 - Vous voyagez vers un pays non membre de l'espace Schengen avec des médicaments stupéfiants ou psychotropes   :

• V ous devez pouvoir produire l'original de la prescription médicale .
• Pour les médicaments classés comme stupéfiants , si les autorités du pays de destination exigent un certificat pour l'entrée sur le territoire, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produ its de santé (ANSM) pourra vous délivrer une attestation de transport . Ces attestations s ont délivrées pour des quantités transportées correspondant à une durée de traitement ne dépassant pas la durée maximale de prescription.

Liens utiles

• Le site internet de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)
• Le régime du transport de stupéfiants par les particuliers

Attestation de transport de médicaments classés comme stupéfiants

L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) délivre une attestation de transport de médicaments classés comme stupéfiants   :

Questions fréquentes

L 'espace Schengen regroupe 27 États européens qui autorisent la libre circulation des personnes : Allemagne, Autriche, Belgique, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Slovaquie, Slovénie, Suède et Suisse.

Infos Douane Service

Nos conseillers douaniers sont disponibles du lundi au vendredi, sauf jours fériés, de 8h30 à 18h00.

Le rappel est gratuit et le numéro affiché est 0 800 94 40 40.

Appelez nos conseillers douaniers

Appels depuis les Outre-mer ou l'étranger : +33 1 72 40 78 50.

Voyage en avion : quels médicaments sont autorisés en cabine ?

Pourquoi transporter vos médicaments dans un bagage à main , quels médicaments sont autorisés en cabine , attestation de transport obligatoire pour les opioïdes, comment transporter vos médicaments en avion .

dossier Si vous devez emporter des médicaments lors de vos voyages en avion, mieux vaut les garder dans votre bagage à main plutôt que dans votre valise en soute. En particulier, s'il s'agit de médicaments vitaux, dont vous pouvez avoir besoin en urgence ou de médicaments fragiles, qui ne résistent pas aux basses températures. Que pouvez-vous emporter en cabine ? Quelles sont les règles importantes dont il faut tenir compte ? Et quelles sont les mesures applicables par les services de sécurité et les compagnies aériennes dans ce domaine ?

Voir aussi l'article : Que devez-vous mettre dans votre pharmacie de voyage ?

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Voyager avec des médicaments

Les renseignements contenus dans cette page vous seront utiles si vous voyagez à l’étranger avec des médicaments sur ordonnance ou en vente libre ou avec de l’équipement médical.

Les médicaments peuvent faire l’objet d’un examen minutieux au moment où vous passez les contrôles frontaliers dans d’autres pays ou la frontière terrestre entre le Canada et les États-Unis.

Sur cette page

Avant de partir, pendant votre voyage, si vous avez besoin d’aide.

Certains médicaments en vente libre ou sur ordonnance, compléments alimentaires ou produits homéopathiques et à base de plantes médicinales qui sont légaux au Canada peuvent être illégaux dans d’autres pays ou nécessiter l’approbation préalable des autorités locales.

• consultez la section santé de nos conseils aux voyageurs et avertissements par destination ;
• communiquez avec le bureau des représentants étrangers accrédités auprès du Canada de votre pays de destination pour confirmer la légalité de vos médicaments dans ce pays.
• Conservez tous vos médicaments dans leur emballage d’origine étiqueté.
• une copie de l’ordonnance originale, et assurez-vous que le nom générique et l’appellation commerciale du médicament y figurent en cas de perte ou de vol;
• une note du médecin expliquant la raison pour laquelle ce médicament a été prescrit (fortement recommandé).
• Renseignez-vous sur ce que vous pouvez et ne pouvez pas emporter dans votre bagage de cabine.
• prendre l’avion avec des médicaments et des articles médicaux;
• voyager à l’intérieur et à l’extérieur du Canada avec des médicaments d’ordonnance contenant des substances désignées
• N’achetez pas de médicaments à l’étranger sans l’avis d’un professionnel de la santé.
• Sachez que certains médicaments peuvent entraîner des préjugés, associer des personnes à un groupe vulnérable ou soulever des questions dans votre pays de destination. Par exemple, les moyens de contraception, la prophylaxie préexposition (PPrE) et les antidépresseurs peuvent ne pas être largement acceptés selon la culture et les lois de votre pays de destination.
• N’oubliez pas que même si vous êtes autorisé à consommer du cannabis à des fins médicales, il est illégal de traverser la frontière canadienne avec du cannabis et tout produit contenant du cannabis, y compris les produits contenant du cannabidiol (CBD).
• Vous devez connaître les lois locales et vous y conformer.
• Votre citoyenneté canadienne ne vous confère aucune immunité contre les poursuites, et les agents consulaires ne peuvent pas vous faire sortir de prison.
• le bureau du gouvernement canadien à l’étranger le plus proche
• le Centre de surveillance et d’intervention d’urgence à Ottawa

Liens connexes

• Voyager avec une déficience
• Recevoir des soins médicaux à l’extérieur du Canada
• Vaccination de voyage
• Voyager avec un dispositif médical
• Ce que vous pouvez emporter dans l’avion  (L'administration canadienne de la sûreté du transport aérien)
• Ingrédients provenant d’animaux et de plantes sauvages dans la médecine traditionnelle  (Environnement et Changement climatique Canada)
• Astuces pour voyager en bonne santé

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Contenu principal

Médicaments et dispositifs médicaux 

À nos yeux, votre santé est primordiale. C’est pourquoi nous vous autorisons à transporter les médicaments ou les dispositifs médicaux nécessaires afin de vous assurer que le voyage en avion ne mette pas votre santé en danger. Si nécessaire, vous pouvez même demander de l’oxygène médical à l’avance. 

Que puis-je emporter à bord ? 

Vous pouvez emporter dans votre bagage à main de petits dispositifs médicaux portables (comme un lecteur de glycémie) ou des médicaments (par exemple comprimés, seringues, etc.) si vous avez besoin de les avoir avec vous. 

• Si vos médicaments doivent rester au frais, nous proposons le service ​ Cube sur nos vols au départ de la Belgique. Vous pouvez emporter cette boîte pratique et réfrigérée à bord et  utiliser le service Cube pour conserver vos médicaments au frais pendant toute la durée de votre voyage.
• Petits appareils médicaux portables : peuvent être rangés sans problème dans votre bagage à main, tant qu’ils respectent nos règles régissant les appareils électroniques et les articles dangereux. 

Remarque : certaines règles s’appliquent aux appareils de dialyse rénale (DCPA). Contactez notre ​ équipe d’assistance spéciale pour plus d’informations.

Exigences supplémentaires 

Médicaments (comprimés, seringues, etc.).

Vous pouvez amener vos médicaments à bord dans votre bagage à main. Nous vous recommandons toujours d’emporter une réserve suffisante en cas de retard de vol ou autres imprévus. 

Demandez également à votre médecin un document confirmant : 

• le nom du médicament que vous amenez à bord 
• que ce médicament est destiné à un usage personnel 
• que vous devez toujours l’avoir avec vous 

Vous avez besoin de garder vos médicaments au frais pendant votre voyage ? Utilisez le service Cube pour conserver vos médicaments dans un sac réfrigéré, emportez-le à bord dans votre bagage à main et commencez votre voyage détendu.

Vous souhaitez en savoir plus ? ​ Consultez toutes les informations et les détails.

Dispositifs de ventilation en pression positive continue (CPAP)

Vous pouvez amener votre CPAP à bord et même l’utiliser, tant que : 

• Le dispositif est éteint et rangé durant le décollage, l’atterrissage et dès que l’équipage l’estime nécessaire. 
• Dans le cas d’un dispositif CPAP alimenté par des batteries au lithium, aucune ne dépasse 160 Wh. En savoir plus
• Le dispositif est rangé à bord conformément aux règles de sécurité. 

Si votre CPAP ne rentre pas dans votre bagage à main, vous pouvez l’emporter avec vous en plus de votre franchise de bagage à main pour autant qu’il pèse au maximum 3 kg. 

Chargez suffisamment votre dispositif CPAP pour toute la durée du vol, avec un peu de marge en cas d’imprévu, puisque le chargement de votre CPAP sur les prises de l’appareil n’est pas autorisé. 

Appareils de dialyse rénale et poches DCPA

Les appareils de dialyse rénale et les poches de dialyse péritonéale ambulatoire continue (DPCA) peuvent être transportés comme bagage à main ou comme bagage enregistré, selon vos besoins. L’utilisation d’un appareil de dialyse n’est toutefois pas autorisée à bord. 

Les appareils de dialyse rénale présentant des dimensions de 80 x 60 x 40 cm environ et les poches DCPA avec solution de dialyse sont autorisés à bord sous certaines conditions. 

Que faire si j’ai besoin d’oxygène pendant mon voyage en avion ? 

Vous pouvez apporter votre propre dispositif d’oxygène à bord ou demander de l’oxygène médical. Dans tous les cas, vous devez en informer notre équipe d’assistance spéciale au moment de la réservation. 

Si vous avez besoin d’oxygène médical supplémentaire pendant le vol, vous pouvez : 

• demander de l’oxygène médical fourni par Brussels Airlines 
• emporter votre propre concentrateur d’oxygène portable (COP) 
• emporter vos propres bouteilles d’air ou d’oxygène 

Informez notre équipe d’assistance spéciale au moment de la réservation si vous souhaitez demander ou apporter de l’oxygène à bord. Votre médecin devra également remplir le ​ formulaire MEDIF afin de nous aider à faire le nécessaire pour préparer votre approvisionnement en oxygène ou vérifier si votre dispositif d’oxygène personnel est autorisé à bord. 

Oxygène médical fourni par Brussels Airlines

Sur demande, nous pouvons fournir jusqu’à 5,2 litres d’oxygène par minute à bord. Ce service étant payant, nous vous conseillons de vérifier à l’avance si ce coût sera bien remboursé par votre assurance maladie. L’oxygène médical doit être demandé et payé au moment de la réservation. 

Frais de fourniture d’oxygène médical par trajet 

• Vols court-courriers : 175 €  
• Vols long-courriers : 350 € 

Concentrateurs d’oxygène portables (COP)

Vous pouvez emporter votre propre COP à bord et l’utiliser pendant le vol, tant qu’il : 

• Fonctionne avec des batteries inversables ou au lithium (chaque batterie au lithium ne pouvant pas dépasser 160 Wh) et que ces batteries sont protégées des courts circuits et emballées correctement. 
• Dispose d’une autonomie de batterie suffisante, en tenant compte d’éventuels retards ou anomalies (une autonomie de batterie de 150 % est recommandée). 
• Ne doit pas être connecté aux prises de l’appareil. 
• Peut être rangé à bord conformément aux règles de sécurité. 

Si vous emportez votre propre COP, notre équipe d’assistance spéciale doit l’autoriser à l’avance. Votre médecin devra remplir un ​ formulaire MEDIF et un ​ formulaire COP en vue de cette approbation. 

Bouteilles d’air ou d’oxygène personnelles

Vous pouvez emporter à bord vos propres petites bouteilles d’air ou d’oxygène destinées à un usage médical. Elles peuvent être embarquées à bord en tant que bagage à main ou bagage enregistré, à condition que : 

• Chaque bouteille ne dépasse pas un poids brut de 5 kg.
• Elles sont protégées de tout dommage pouvant entraîner une libération accidentelle de leur contenu. Cela s’applique également aux bouteilles transportées par des passagers ayant suivi une formation médicale. 

L’oxygène liquide est interdit à bord des vols opérés par Brussels Airlines. 

Si vous emportez ces dispositifs médicaux avec vous, notre équipe d’assistance spéciale doit les autoriser à l’avance. 

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Transport de médicaments en avion : quelles sont les règles à suivre ?

Vous allez partir pour un voyage en avion prochainement, et vous vous demandez quels médicaments il est possible d’avoir avec soi ou obligatoirement dans la soute ? Pour éviter les mauvaises surprises et surtout prévenir tout danger, il est important d’anticiper et de tenir compte des règles de sécurité aériennes lorsqu’on prépare ses bagages. Comme le rappelle 60 millions de consommateurs à ce sujet, la plupart des médicaments sont autorisés, en soute comme en cabine, même liquides. Cependant, il faudra une ordonnance à son nom pour justifier leur transport en cas de contrôle. « La traduction de l’ordonnance n’est pas obligatoire si les noms de médicament sont les mêmes ou presque en anglais (exemple : l’insuline se dit insulin) ou si l’ordonnance emploie leur dénomination commune internationale (DCI). Dans les autres cas, il est fortement conseillé de la faire traduire. », indique l’organisme. Même recommandation de la part de l’ANSM* : « vous devez être en possession de l’original de l’ordonnance, accompagné dans la mesure du possible de sa traduction en anglais qui doit être présenté sur réquisition des autorités de contrôle compétentes . »

A découvrir également : Avion : vos bagages sont perdus, retardés ou endommagés, vous avez des droits

A noter selon l’agence que certains médicaments font particulièrement l’objet de contrôle dans de nombreux pays, en premier lieu les médicaments stupéfiants ou assimilés stupéfiants notamment les médicaments de substitution aux opioïdes, certains antalgiques et les médicaments indiqués dans les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité. En outre, l’ANSM donne une liste non exhaustive des molécules pour lesquelles une attestation de transport est souvent requise : buprénorphine haut dosage (BHD), fentanyl, hydromorphone, méthadone, méthylphénidate, morphine, oxycodone. L’agence recommande, préalablement à tout déplacement, de se renseigner auprès de l’Ambassade ou du Ministère de la Santé du pays de destination pour connaître la réglementation en vigueur. Pour obtenir une attestation de transport, les démarches diffèrent selon le pays de destination : espace Schengen (Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse…) ou non. Dans le premier cas, il convient de contacter l’ARS de sa région où le médecin prescripteur est enregistré pour obtenir une attestation.

Quelles précautions pour les personnes diabétiques ?

Dans le second, l’ANSM est l’autorité compétente pour la délivrance des attestations de transport et il est recommandé de savoir si le pays de destination exige une attestation de transport pour le traitement en question, en se référant au site internet de l’Organe International de Contrôle des Stupéfiants (OICS). L’ANSM fait savoir que « si une attestation de transport (des autorités compétentes du pays de résidence) est requise, faites-en la demande dix jours minimum avant la date de votre départ », non sans préciser que les attestations sont délivrées pour des quantités transportées correspondant à une durée de traitement ne dépassant pas la durée maximale de prescription autorisée de 28 jours. Si les comprimés, gélules et autres médicaments « solides » peuvent être transportés en soute ou en cabine, l'Autorité de la qualité de service dans les transports indique que les traitements sous forme liquide doivent faire l’objet d’une prescription médicale au portique mais ne dépendent pas en revanche des mêmes règles que les autres produits liquides. A savoir, selon 60 millions de consommateurs, qu’il est possible d’en transporter en cabine une quantité totale supérieure à 1 l ou dans des contenants de plus de 100 ml, si nécessaire.

Peu importe le type de médicament, il est recommandé de les transporter dans leur emballage d'origine avec leur notice. Côté pratique, le fait de les placer dans un petit sac à part à l’intérieur de son bagage à main permet de les conserver plus facilement avec soi dans l’avion. Attention : un grand bagage à main peut être transporté en soute si les compartiments à bagages sont complets avant le décollage. En outre, le fait de mettre ses traitements en soute peut mettre la personne en difficulté pendant son séjour, en cas de perte ou de retard du bagage Le même principe de précaution s’applique, pour passer le contrôle, si le médicament nécessite une seringue ou une aiguille : une ordonnance si possible en français et en anglais. A titre d’exemple, les passagers diabétiques peuvent voyager avec leur insuline en cabine sous condition d’une ordonnance valide qui détaille tous les éléments du traitement emportés pendant le voyage (stylos injecteurs, lecteur, etc.). A bord, veillez à ce que la seringue soit bien emballée, sachant que seul le patient ou la personne qui l’accompagne peut effectuer des piqûres. Les avions sont par ailleurs très rarement équipés pour transporter des médicaments réfrigérés, qu’il faut alors tenir au frais grâce à des pochettes réfrigérantes ou flacons sous vide.

*Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé

Sources complémentaires :

https://www.france-assos-sante.org/2014/08/04/transport-de-medicaments-en-avion-ce-quil-faut-savoir/

https://www.transavia.com/fr-FR/questions-frequemment-posees/medicaments-a-bord/

https://www.flycorsair.com/fr/bagages-speciaux/comment-transporter-des-medicaments

https://aide.marseille.aeroport.fr/hc/fr/articles/360000463592-Puis-je-transporter-des-m%C3%A9dicaments-en-bagage-cabine-

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Prendre l’avion avec ses médicaments, ça ne s’improvise pas

• Commentaires

Le transport de médicaments et de matériel médical en avion est réglementé. Comme certaines formalités prennent du temps, mieux vaut anticiper… Voici donc cinq choses à savoir pour les vols au départ de l’Europe. Attention, les pratiques pour les vols dans des pays extraeuropéens peuvent différer. Soyez vigilants en cas de correspondance !

1. Les médicaments sont autorisés en vol, mais sous conditions

La plupart des médicaments sont autorisés, en soute comme en cabine, même liquides. Cependant, il vous faudra une ordonnance à votre nom pour justifier leur transport en cas de contrôle. La traduction de l’ordonnance n’est pas obligatoire si les noms de médicament sont les mêmes ou presque en anglais (exemple : l’insuline se dit insulin ) ou si l’ordonnance emploie leur dénomination commune internationale (DCI). Dans les autres cas, il est fortement conseillé de la faire traduire. Les médicaments liquides ne dépendent pas des mêmes règles que les autres produits liquides : il est possible d’en transporter en cabine une quantité totale supérieure à 1 l ou dans des contenants de plus de 100 ml, si nécessaire. Par ailleurs, pour préserver la confidentialité de votre traitement vis-à-vis des autres voyageurs, vous n’êtes pas obligé(e) de les mettre dans un sac transparent.

Gare aux médicaments interdits dans certains pays !

L’ordonnance est également nécessaire pour emporter en cabine des dispositifs médicaux coupants ou perforants comme les seringues ou les aiguilles. En plus d’une ordonnance, les médicaments de la famille des stupéfiants ou assimilés peuvent nécessiter, suivant les destinations (dans ou hors de l’ espace Schengen ), une attestation de transport , délivrée par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Attention : certains médicaments prescrits en France ne sont pas légaux partout dans le monde et pourraient donc être saisis à la frontière ou apporter de gros ennuis à leur porteur (amende, garde à vue, voire procès). C’est le cas notamment de certains antidouleurs (opioïdes), anxiolytiques, somnifères… Renseignez-vous auprès des ambassades des pays que vous allez visiter, ou simplement traverser.

Dispositifs médicaux : une autorisation est parfois nécessaire

Certains dispositifs médicaux sont acceptés mais requièrent une autorisation, comme les bouteilles d’oxygène gazeux ou les appareils contenant des piles ou des batteries au lithium : appareil de pression positive continue (PPC, ou CPAP en anglais), défibrillateur… À LIRE AUSSI >>> L’affaire des respirateurs Philips défectueux en 7 questions D’autres appareils sont, eux, interdits en avion – comme l’oxygène à usage médical sous forme liquide. Enfin, les dispositifs implantés (comme le pacemaker) ou filaires (comme la pompe à insuline) nécessitent d’avoir un certificat médical.

2. Mieux vaut privilégier le transport en cabine, quand c’est possible

Il est préférable de mettre l’essentiel de votre traitement dans le sac que vous ne quitterez pas des yeux, en cabine. Compte tenu du nombre de bagages volés ou perdus enregistrés en soute, c’est plus sûr. D’ailleurs, certaines compagnies aériennes, comme Royal Air Maroc, n’engagent pas leur responsabilité sur les médicaments et incitent leurs clients à les garder dans leurs bagages à main. Cependant, certaines limites en poids ou en volume peuvent vous obliger à mettre une partie de votre traitement en soute. À LIRE AUSSI >>> Prix, poids, taille… 8 questions sur les bagages en avion

Tout n’est pas autorisé en soute… et tout n’est pas autorisé en cabine

Par ailleurs, tout n’est pas autorisé en soute et, inversement, tout n’est pas autorisé en cabine, comme l’explique le site Airbag (« articles interdits ou réglementés dans les bagages ») de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC). Par exemple, les batteries au lithium de rechange ou les bouteilles d’oxygène gazeux sont interdites en soute. Et les appareils médicaux avec batterie au lithium ne sont autorisés en soute qu’après accord de la compagnie aérienne. À LIRE AUSSI >>> Cigarettes électroniques : limitez le risque d’explosion Attention : certains dispositifs médicaux ne doivent pas passer aux rayons X (certains capteurs de glycémie, certaines pompes à insuline, etc.). Il est important de le vérifier sur leur notice afin de sortir ces éléments du sac avant les contrôles, et de demander à ce qu’ils ne passent pas sur le tapis de détection.

3. La quantité acceptée est celle nécessaire à la durée du voyage

Vous pouvez emporter avec vous le traitement nécessaire pour toute la durée du voyage (vol aller, séjour, vol retour). L’ordonnance permet notamment de justifier la quantité transportée. Si vous partez plus de trois mois, il vous faut une ordonnance particulière permettant de récupérer plus de trois mois de traitement en pharmacie avant votre départ. Pour les appareils médicaux, une limite en poids peut être imposée. Mieux vaut se renseigner auprès de la compagnie aérienne : en général, les appareils de moins de 10 kg sont autorisés en cabine.

Insuline et gel douche

Pour les médicaments, il existe également une limite imposée, de 2 kg ou 2 l par personne. Cette limite vaut pour les médicaments et les affaires de toilette : il faut donc ajouter le volume d’insuline au volume du gel douche, par exemple. Attention, vous devez voyager avec vos traitements dans leur emballage d’origine et avec leur notice ! Ce qui peut prendre beaucoup de place.

4. Vous avez droit à un bagage supplémentaire en cabine

Les compagnies aériennes au départ de France autorisent un bagage cabine en sus de la franchise bagage, et gratuitement, pour entreposer votre traitement médical. Il doit respecter les dimensions du bagage cabine imposées par la compagnie aérienne et ne contenir que le traitement. À LIRE AUSSI >>> Quand EasyJet rétrécit le gabarit de mesure du bagage cabine Seule précaution : prévenir la compagnie aérienne suffisamment à l’avance. C’est demandé de manière explicite par de nombreuses compagnies low cost. C’est le cas de Transavia , EasyJet ou Ryanair (cette dernière vous délivrera une « lettre d’exonération »). Air France nous a également confirmé l’existence de ce bagage « médicament » supplémentaire gratuit en cabine. Son site Internet est moins clair sur les modalités, mais la compagnie est dotée d’un service dédié aux problématiques de santé et de handicap, Saphir , qui peut être contacté en cas de besoin.

5. Les soignants, associations et administrations peuvent vous éclairer

Avant d’entreprendre un voyage, parlez à vos soignants. Les médecins sont au courant des problématiques rencontrées en voyage. Ils pourront vous donner les certificats et les justificatifs nécessaires, vous recommander les astuces pour voyager avec des médicaments nécessitant une réfrigération, vous prescrire du matériel médical de secours en prêt pour vos vacances, etc.

Des associations de patients proposent aussi des livrets explicatifs (comme le mémo vacances de la Fédération française des diabétiques). Vous y trouverez toutes les subtilités spécifiques non seulement au transport de médicaments, mais à l’adaptation et à la gestion des traitements pendant le vol. Vous pouvez également obtenir des informations sur le site Airbag de la DGAC, et les spécificités douanières sur le site des douanes . Mais comme le précise le ministère des transports, ce sont les compagnies aériennes qui, sur place, ont le dernier mot. Contactez-les au moindre doute.

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Ma compagne a contacté l’entreprise Monsieur Jacques pour une baignoire bouchée… Le dépanneur lui a réclamé 1958 € pour l’intervention ! Devant son insistance, elle a payé. Pourtant le problème n’est pas réglé et la société ne répond plus !

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Ceux qui ne doivent pas voyager en avion

• nouveau-nés âgés de moins de 48 heures ;
• femmes enceintes dans les quatre dernières semaines de la grossesse (huit semaines en cas de grossesse multiple) ;
• femmes ayant accouché moins de sept jours auparavant ;
• personnes souffrant de certaines maladies cardiaques ou cardiovasculaires ;
• personnes souffrant d'une augmentation de la pression intracrânienne en raison d'une hémorragie , d'un traumatisme ou d'une infection ;
• personnes souffrant de troubles respiratoires importants ( insuffisance respiratoire , pneumothorax , par exemple) ; dans certaines conditions et en ayant prévenu à l’avance, il est cependant possible de voyager avec une bouteille d’oxygène adaptée.
• personnes ayant subi récemment certaines opérations chirurgicales, en particulier sur le système digestif, le cerveau, les yeux (demandez l’avis de votre chirurgien) ;
• personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ;
• personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ;
• personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d’un accident de décompression.

Les personnes souffrant de sinusite ou de rhinopharyngite aiguë doivent retarder, si possible, leur voyage en avion jusqu’à la guérison, afin d’éviter les maux d’oreille et les otites barotraumatiques .

Des cas particuliers dans les avions

Certaines personnes doivent prendre des précautions particulières lors de voyages en avion.

Les enfants de moins de deux ans

Les voyages en avion avec de jeunes enfants exigent certaines précautions. Un enfant de moins de deux ans peut voyager sur les genoux de ses parents. Pensez à préciser l’âge de l’enfant lors de la réservation, vous disposerez d’un siège avec plus d’espace pour les jambes. N’oubliez pas d’emporter de quoi le restaurer (biberon de lait, plats préparés, petits gâteaux, etc.) et l’occuper (jouets, livres, crayons, papier, etc.), ainsi que des vêtements pour le couvrir s’il fait froid à bord.

Pendant la grossesse

Les longs voyages en avion sont déconseillés en fin de grossesse. De plus, la plupart des compagnies aériennes refusent l’accès à bord aux femmes enceintes qui sont dans leur dernier mois de grossesse, voire avant. Renseignez-vous au moment de la réservation.

Prise de médicaments et décalage horaire

Si vous suivez un traitement et que votre voyage traverse plus de trois fuseaux horaires, discutez avec votre médecin d’une éventuelle adaptation de vos heures de prise de médicament. Les règles d’adaptation des heures de prise varient selon le type de médicament et la maladie traitée.

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Médicaments

Quels médicaments emmener en vacances et comment les transporter .

Vous partez en voyage cet été, et vous vous demandez quels médicaments et ordonnances vous devez emporter ? Voici quelques conseils pour ne rien oublier, en fonction de votre destination et de votre état de santé.

On les attend avec impatience : les vacances d'été. Et côté santé, tout se joue dans la préparation. Pour l’ Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) , la prévoyance doit être de mise, à travers cinq conseils primordiaux :

• Consultez en amont
• Renouvelez vos ordonnances
• Évaluez la quantité de médicaments nécessaire
• Prévoyez plus par précaution
• Anticipez le décalage horaire. 

Faut-il voyager avec son ordonnance ?

Une question à se poser au moment de boucler votre valise qui contient des médicaments prescrits : faut-il emporter avec eux l'ordonnance correspondante ? Tout dépend de votre pathologie. Sur son site, l’ ANSM  conseille de voyager avec l’original de votre ordonnance même si ce n’est pas obligatoire, accompagné dans la mesure du possible, de sa traduction en anglais si vous partez à  l’étranger . Pour certains médicaments, il faudra demander à votre médecin une ordonnance qui précise la  dénomination commune internationale , c’est-à-dire le nom de la substance active qui compose le médicament. Sachez qu'une ordonnance faite en France est valable dans toute l’Union européenne.

Peut-on emporter un médicament liquide en avion ?

Il faut aussi faire attention aux conditions de transports si vous prenez l'avion, car elles changent d’une compagnie à l’autre. Chacune a ses propres règles, notamment avec les médicaments liquides, les respirateurs à oxygène, les objets pointus comme les aiguilles ou les seringues. Par exemple les personnes diabétiques doivent se munir de leur ordonnance en cours de validité pour pouvoir voyager en cabine avec leur  insuline .    Consultez le site de la  fédération des diabétiques , pour consulter la check-list avant votre voyage.

Attention à la conservation des médicaments

Si vous voyagez en avion, gardez au moins une partie de vos médicaments indispensables, vos seringues ou stylos injecteurs dans votre sac à main ou votre bagage cabine. En effet, si jamais votre bagage en soute se perd, c'est important de les avoir avec vous. Attention aussi car certains médicaments sont très sensibles à la chaleur, notamment ceux prescrits pour une  sclérose en plaques , un  diabète  ou une  maladie de Crohn . Pensez donc à vous munir d’une pochette isotherme que vous trouvez facilement en pharmacie pour les garder au frais.

Constituer une trousse de premiers secours

Même si vous ne souffrez d'aucune pathologie particulière, prévoyez d'emporter dans vos bagages une  trousse de premier secours  pour tous les petits bobos qui peuvent vous gâcher les vacances. Selon l’Assurance maladie, voici les essentiels à glisser dans votre trousse:

• Des antiseptiques à usage local. Choisissez de préférence une forme en spray ou en lingettes, les flacons pouvant s’ouvrir pendant le trajet.
• Des compresses stériles et des pansements stériles
• Une crème pour apaiser vos  coups de soleil  éventuels, en complément de votre  crème solaire
• Une pince à épiler pour enlever les échardes
• Un  tire-tiques  pour retirer les tiques
• Une paire de ciseaux
• Un  thermomètre
• Si vous voyagez en avion et/ou si vous avez un terrain prédisposant au risque de  phlébites , des  bas ou chaussettes de contention .

Les médicaments à toujours emporter en vacances

Pensez aussi à glisser dans votre valise des médicaments en vente libre qui peuvent s’avérer très utiles contre les petits maux du quotidien :

• Des  anti-nauséeux  en cas de mal des transports
• Des anti-douleurs comme du paracétamol ou de l’aspirine  
• Des médicaments anti-diarrhéiques
• Des  laxatifs
• Des  collyres et sérum physiologique  en dosettes à usage unique. 

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Médicaments et voyages: à quoi faut-il faire attention?

Partir en vacances ou en voyage avec des médicaments a ses inconvénients. On devra, par exemple, tenir compte des fuseaux horaires pour savoir quand prendre ses médicaments, et il s’agira d’y prêter attention pendant le vol également.

Médicaments pendant le vol

Destination affichant moins de 2 heures de décalage horaire, destination affichant plus de 2 heures de décalage horaire, attestation de médicaments pour la douane, comment transporter les médicaments, médicaments particulièrement délicats en cas de décalage horaire, susan musicaro.

Les personnes qui partent en Amérique, en Asie ou à l’autre bout du monde doivent reculer ou avancer leur montre de plusieurs heures. Penser à temps à la prise de médicaments permet d’éviter le stress avant le départ.

Pendant le voyage en avion, on prend ses médicaments comme d’habitude à l’heure de la maison. Ce n’est qu’une fois arrivé à destination que l’on règle sa montre sur le fuseau horaire local.

Les voyages dans des fuseaux horaires qui présentent moins de deux heures de décalage ne posent généralement pas de problème pour la prise de médicaments. À l’arrivée, il suffit de prendre la dose habituelle à l’heure habituelle. L’heure locale est alors déterminante.

Pour les grands décalages horaires de plus de deux heures, tout dépend si l’on vole vers l’est ou vers l’ouest. Dans tous les cas, il est recommandé de demander à votre pharmacien-ne ou médecin de calculer un plan de médication, car de tels calculs nécessitent des connaissances spécialisées.

Lors de vols en direction de l’est, il se peut que ce soit déjà le matin à l’arrivée, alors que l’on a pris sa dose du soir il y a peu. Le temps écoulé entre deux prises serait donc plus court que d’habitude. C’est pourquoi la dose sera ponctuellement réduite dans de tels cas, afin d’éviter le surdosage.

À l’inverse, les vols en direction de l’ouest «prolongent» la journée. Il faudra donc prendre une dose légèrement plus élevée ou une dose supplémentaire.

L’exportation de médicaments faisant partie des «substances contrôlées» est autorisée depuis la Suisse si elle est destinée à un usage personnel pour une durée maximale de 30 jours.

Tout dépend aussi des médicaments dont on a besoin. Le mieux est de se renseigner auprès de la représentation consulaire compétente pour savoir si un certificat médical est nécessaire. Pour les substances contrôlées ainsi que pour certains médicaments qui agissent sur le psychisme, il faut toujours avoir sur soi un certificat d’importation. Le formulaire correspondant en anglais se trouve sur le site Internet de Swissmedic. Il doit être rempli et signé par votre médecin et, dans certains cas, également par votre pharmacien-ne .

(Voir suite ci-dessous...)

Conseil aux voyageurs

Passez des vacances sans souci et prenez les bonnes précautions pour votre santé grâce aux conseils aux voyageurs délivrés dans votre pharmacie. Nous vérifions les recommandations médicales applicables en fonction de votre lieu de destination.

Il est préférable de les transporter dans leur emballage d’origine dans les bagages à main, afin qu’ils ne soient pas exposés à des températures extrêmes et que vous les ayez toujours sous la main. Une valise en soute peut vite se perdre! Emporter également la notice d’emballage. Pour les médicaments liquides, certaines compagnies aériennes n’autorisent dans les bagages à main que la quantité nécessaire durant le vol.

Les médicaments qui doivent être conservés au frais peuvent être transportés dans un sac isotherme avec des éléments réfrigérants. Cependant, lors de longs voyages, même un sac isotherme finit par être trop chaud. Il est donc conseillé de demander au préalable à la compagnie aérienne si elle met à disposition des boîtes spéciales pour le transport de médicaments. Les médicaments sensibles à la température peuvent ainsi être conservés jusqu’à 60 heures entre deux et six degrés Celsius.

• En principe, il est conseillé de se munir d’un certificat médical pour les médicaments délivrés sur ordonnance. Elle pourrait être utile en cas de questions à la douane, auprès de la compagnie aérienne ou en cas de perte des médicaments.
• Il est préférable de toujours emporter un peu plus de médicaments que nécessaire. Si le départ est retardé ou le vol détourné, vos besoins seront couverts.

Il faut faire attention aux antibiotiques et à certaines hormones. Il s’agit notamment de l’insuline, des hormones sexuelles à visée contraceptive et des hormones de type cortisone. En revanche, les hormones thyroïdiennes ne posent pas de problème jusqu’à un décalage horaire de 12 heures, car leur effet dure plus longtemps que celui des autres médicaments.

• Pilule contraceptive: les femmes qui prennent quotidiennement une pilule contraceptive doivent faire attention au type de pilule qu’elles prennent. Selon le type de pilule, l’intervalle entre deux prises peut être de 27 heures ou de 36 heures au maximum. On peut donc retarder la prise de trois heures au maximum dans un cas et de douze heures au maximum dans l’autre. Si l’intervalle d’une prise à l’autre dépasse la limite de 27 ou 36 heures, il faut prendre une «pilule intermédiaire» supplémentaire douze heures après la dernière prise, puis reprendre à intervalles de 24 heures. Toujours consulter la notice d’emballage. Si vous avez des questions, votre médecin ou votre pharmacien-ne se fera un plaisir de vous aider. En cas de diarrhée ou de vomissements dans les trois heures suivant la prise, penser à prendre une pilule supplémentaire. Sinon, l’efficacité pourrait être compromise.
• Insuline: les personnes diabétiques qui doivent s’injecter de l’insuline doivent établir un plan d’injection pour le voyage avec leur médecin ou leur pharmacien-ne . Il est également important de contrôler étroitement la glycémie pendant le voyage. En effet, le stress du voyage et le changement d’alimentation peuvent avoir un impact sur les taux de glycémie. Pour avoir un antidote à portée de main en cas d’hypoglycémie, emportez du glucose dans votre bagage à main.
• Médicaments contenant de la cortisone: les médicaments de type cortisone sont souvent pris le matin, car cela correspond au rythme biologique naturel. Les personnes qui voyagent devraient si possible conserver ce rythme et se baser sur l’«heure à la maison». En cas de décalage horaire de plus de deux heures, l’heure de prise est décalée chaque jour de deux heures vers l’avant (pour les voyages vers l’est) ou de deux heures vers l’arrière (pour les voyages vers l’ouest).
• Médicaments contre l’épilepsie: là aussi, il faut demander un plan de prise à votre médecin au préalable. La Ligue suisse contre l’épilepsie a résumé les points importants à prendre en compte dans une brochure .
• Antibiotiques: si la prise doit se faire trois fois par jour, il faut prendre le médicament toutes les huit heures, quelle que soit l’heure locale. Ce n’est qu’ainsi que le niveau d’action reste constant. Reprendre l’antibiotique matin, midi et soir en tenant compte du nouveau fuseau horaire serait une erreur. Pour un antibiotique pris deux fois par jour, l’intervalle entre une dose et la suivante doit être de 12 heures; pour un antibiotique pris une fois par jour, l’intervalle est de 24 heures.

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publié le 22.06.2023

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Les autorités aéroportuaires entendent par liquide ou gel les boissons, shampooings, lotions solaires, crèmes, dentifrices, gels capillaires et tout autre article de consistance similaire. Les aérosols comprennent notamment les insectifuges, fixatifs à cheveux et déodorants. Tous ces produits doivent être placés dans les bagages enregistrés (c’est-à-dire ceux qui se retrouvent dans la soute à bagages) pour tous les vols en partance du Canada.

Certaines exceptions s’appliquent toutefois à cette nouvelle règle. Les préparations pour nourrissons, le lait maternel et les aliments de bébé dans de petits contenants sont permis si on voyage avec un bébé de moins de deux ans. Les médicaments prescrits sont permis en cabine dans les bagages à main s’ils portent une étiquette de pharmacie émise au même nom que celui figurant sur le billet et la carte d’embarquement du passager, tout comme les médicaments essentiels vendus sans ordonnance et n’excédant pas 120 ml (4 oz) par contenant. Les passagers diabétiques peuvent apporter avec eux leur insuline et leurs seringues ou stylos injecteurs et les liquides/gels n’excédant pas 148 ml (5 oz) par contenant.

Ainsi, il est recommandé de conserver ses médicaments d’ordonnance dans les bagages à main. Cependant, ils doivent être conservés dans leurs contenants d’origine et être étiquetés correctement (étiquette imprimée indiquant le nom du médicament ou le nom du fabricant, ou étiquette de pharmacie). Pour les médicaments de vente libre, vous pouvez demander à votre pharmacien qu’il les inscrive à votre dossier et vous imprime une étiquette de pharmacie avec la posologie. Dans le cas des seringues et des aiguilles hypodermiques, les médicaments doivent être utilisés à des fins médicales seulement, la gaine de protection doit être en place et le médicament doit être identifié sur une étiquette.

Il est également plus prudent d’apporter une liste de tous les médicaments que vous prenez, comportant à la fois le nom commercial et le nom générique du médicament, de même que la dose et la posologie. Cette liste ne devrait pas être placée avec vos médicaments. Advenant le cas où vous perdriez vos médicaments, vous saurez au moins ce que vous prenez et pourrez vous en faire prescrire à nouveau temporairement durant le voyage. Prévoyez également un peu plus de médicaments que nécessaire pour la durée de votre voyage. Si vous ratez une correspondance de vol ou êtes retardé pour quelque raison que ce soit, vous ne serez pas pris au dépourvu.

Évidemment, ces règles peuvent changer selon les événements. Le moyen le plus rapide et le plus efficace d’obtenir une mise à jour de la liste des articles que vous pouvez ou ne pouvez pas placer dans vos bagages est de visiter le site Internet de l’Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA) en hyperlien ou de téléphoner au 1-888-294-2202.

Bon voyage!

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Quelles sont les précautions à prendre pour emporter ses médicaments en avion ?

Soute ou cabine : où mettre ses médicaments dans l’avion .

Dans le cadre du transport aérien, la réglementation sur les bagages implique de nombreuses interdictions ou limitations afin d’assurer la sécurité des passagers et des membres de l’équipage. Les contrôles de sûreté permettent d’éviter que des produits de nature dangereuse ne se retrouvent à bord de l’appareil.

Entre la soute et la cabine les règles diffèrent. S’il y a plus de souplesse pour les bagages mis en soute, ce n’est pas forcément la meilleure option pour vos médicaments . En effet, la nature de vos produits de santé ne leur permet peut-être pas de supporter les conditions de voyage en soute, notamment les changements de pression et les basses températures. C’est souvent le cas des médicaments sous forme liquide. C’est donc un point à vérifier avant de préparer votre valise afin de ne pas mettre en péril l’intégrité de votre protocole de soin.

D’autre part, vous pouvez avoir besoin de vos traitements médicaux durant le voyage , d’autant plus si vous êtes sur un vol long-courrier ou si votre itinéraire comporte des escales. Dans certains cas en effet, les voyageurs ne peuvent pas se permettre d’être dépendants des aléas du transport aérien. La solution peut être de répartir les médicaments dans l’avion entre la cabine et la soute.

En règle générale, le transport de médicaments solides dans le bagage cabine ne pose pas de problème. Toutefois, si les gélules et comprimés ne sont pas réglementés, les mesures sont différentes pour les liquides .

Devez-vous emporter une ordonnance médicale ?

La réglementation aéroportuaire ainsi que les autorités nationales et internationales édictent des règles strictes qui concernent aussi les médicaments. Pour adopter les bonnes pratiques, vous pouvez vous renseigner au préalable auprès de la compagnie aérienne , mais aussi consulter le site de l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS), ainsi que celui de France Diplomatie .

En effet, il faut savoir que certains pays assimilent des substances médicamenteuses à des stupéfiants , comme la codéine par exemple. Les psychotropes et assimilés nécessitent par ailleurs une autorisation de transport délivrée par l’Agence régionale de santé (ARS) pour circuler dans l’espace Schengen.

En sirop, en pâte ou en gel, selon votre prescription médicale, la posologie peut rapidement impliquer un dépassement des limites autorisées en cabine. Dans ce cas, que ce soit dans la soute ou à bord de l’appareil, il vaut mieux que l’ordonnance accompagne toujours les médicaments transportés en avion , d’autant plus lorsqu’ils nécessitent l’utilisation d’aiguilles, de seringues ou de stylos injecteurs.

D’autre part, évitez de placer vos médicaments dans un pilulier pour le trajet. Privilégiez une conservation dans leur emballage d’origine en laissant également la notice .

Bon à savoir : il est préférable d’ emporter votre ordonnance médicale originale, non manuscrite et traduite en anglais . De même, demandez à votre médecin traitant de recourir à la dénomination commune internationale (DCI). Dans ce cas, ce n’est pas le nom de la marque du médicament qui est indiqué, mais celui de la substance active. Cette pratique facilite les contrôles douaniers et vous permet au besoin de vous rendre dans une pharmacie dans un autre pays.

4 conseils annexes pour gérer votre traitement médical en voyage

• Veillez toujours aux conditions de conservation de vos médicaments , notamment si vous voyagez dans des zones très chaudes ou au contraire dans des pays exposés au grand froid.
• Selon la durée de votre séjour et le décalage horaire associé, demandez conseils auprès de votre médecin pour savoir si vous devez changer ou conserver vos habitudes notamment en ce qui concerne les heures auxquelles prendre votre traitement.
• Il est conseillé de prévoir toujours plus que la durée stricte de votre voyage . Cette quantité supérieure vous permet en effet de faire face à tout contretemps de manière sereine.
• Si vous envisagez un voyage au long cours, vous devez adresser une demande de dérogation à l’Assurance maladie pour que la pharmacie puisse vous délivrer un nombre de boîtes supérieur aux limites habituellement autorisées . Cette demande doit être faite dans le mois qui précède votre départ au moyen d’une ordonnance comportant la mention « départ à l'étranger - accord délivrance pour xx mois ».

Vous avez du mal à dormir en avion ? Les scientifiques se sont penchés sur la question

D’un bon maintien du cou à l’indispensable casque anti-bruit, ces astuces de voyage favorisent le sommeil - et sont prouvées par la science..

Il n’est pas facile de dormir dans des avions bruyants et exigus, mais le choix du bon siège et un bon maintien du cou, entre autres choses, peuvent vous aider à vous assoupir.

Lorsque nous prenons l’avion, nous voyageons pour la plupart en classe économique, dans une cabine bondée, entourés de personnes qui parlent, rient, se plaignent, éternuent et mangent. Des bébés pleurent, le personnel navigant pousse des chariots à boissons dans les allées étroites et des passagers bloquent le passage.

Si vous osiez vous endormir alors que vous êtes assis côté couloir, vous seriez bousculé tout le long du vol, par des personnes qui déambulent ou bien par des voisins de rangée qui se lèvent pour aller aux toilettes.

Rick Steves, l’indomptable journaliste voyage et guide, décrit ainsi sa routine : « Je porte des vêtement chauds et amples pour prendre l’avion et me pelotonne dans mon pull et dans mon écharpe. Ensuite, j’enfile mon casque anti-bruit, qui étouffe à la fois le vacarme des réacteurs et le bavardage assommant des personnes autour de moi. »

En se préparant bien, les voyageurs peuvent bel et bien parvenir à s’assoupir. Cocktail en cabine, maintien du cou, voici ce qu’il faut éviter et ce qu’il faut faire pour s’octroyer quelques heures de sommeil en avion.

LUTTER CONTRE L’AIR SEC ET LE BRUIT ASSOURDISSANT

En vol, les limites physiques du sommeil s’accompagnent d’une kyrielle d’autres démons. L’humidité de la cabine est faible et la sécheresse de l’air qui en résulte peut irriter les yeux et le nez. La pression atmosphérique est également faible, ce qui peut provoquer maux de tête et nausées, des troubles peu propices à l’endormissement. Certaines personnes peuvent éprouver les sensations perturbantes du mal de l’air quand l’avion atteint 1 300 mètres d’altitude, dix minutes environ après le décollage.

En cabine, la température varie entre 22°C et 24°C. Pour certains, c’est trop chaud, pour d’autres trop froid. Selon certains spécialistes du sommeil, la température optimale pour un sommeil de qualité se situe entre 18°C et 20°C. Selon la durée de votre vol, vous êtes susceptible d’avoir besoin d’une couverture… ou d’un éventail.

Selon l’Association américaine de la parole, du langage et de l’ouïe (ASHA), vous pouvez vous exposer à des sons de 70 dBA (machine à laver) ou moins « pendant autant de temps que vous le souhaitez » sans que votre ouïe n’en pâtisse. Mais « des sons de 85 dBA peuvent conduire à une perte d’audition si vous vous y exposez pendant plus de huit heures d’affilée ».

Carla Jaspers , ergothérapeute et spécialiste de l’ergonomie, encourage vivement les passagers à utiliser des  casques anti-bruit ou des bouchons d’oreilles « pour bloquer les bruits en trop, qu’ils proviennent de l’appareil lui-même ou des personnes à bord ».

CHOISIR LE BON SIÈGE ET ADOPTER LA BONNE POSTURE

Carla Jaspers recommande également d’éviter de se servir de la tablette pliable comme d’un repose-tête. Cette position irrite la peau et peut occasionner nerfs coincés et engourdissement.

Un siège qui s’incline ne serait-ce qu’un peu soulage la pression placée sur votre dos et votre colonne vertébrale. De plus, pensez à investir dans un  oreiller convenable sur le plan ergonomique pour le cou et la tête et dans un autre qui servira à maintenir votre coccyx. Selon elle, plus vous soutenez votre tête et votre cou, plus vous avez de chances d’avoir un sommeil réparateur.

Si vous n’avez pas pris l’avion récemment, vous pourriez trouver cela plus difficile qu’avant de vous installer dans une position de sommeil confortable. Afin d’accueillir plus de sièges pour faire voyager davantage de passagers, la taille de siège standard déterminée par le secteur de l’aviation est passé de 47 centimètres d’accoudoir à accoudoir à 43 centimètres.

L’espace pour les jambes (le « pitch ») est quant à lui passé de 89 à 79 centimètres. Et si jamais vous avez l’outrecuidance de vous servir de la  fonction de réclinaison de votre siège, celui-ci ne s’incline plus que de cinq centimètres, contre dix auparavant, ce qui est commode pour le passager assis derrière vous mais qui ne représente qu’un avantage minimal pour vous si vous souhaitez piquer du nez.

Fait ironique, des  études montrent que si les sièges d’avions sont « le principal facteur de confort quand il s’agit de s’endormir », et que si le sommeil est « l’activité la plus fréquente » sur un vol long-courrier, il s’agit aussi de la « moins confortable ».

Au vu de ces défis, existe-t-il vraiment un moyen de prendre l’avion et de dormir en même temps ? Selon Jamie Zeitzer , professeur et co-directeur du Centre pour le sommeil et les sciences circadiennes de l’Université Stanford, la réponse est oui : « Voyager en classe affaires… Pour les autres passagers, ce n’est pas si facile. »

Si le sommeil est votre objectif, deux choix s’offrent à vous. Comme le suggère Jamie Zeitzer, dépenser plus d’argent pour obtenir de meilleurs sièges, comme ceux de la classe économique premium. On y trouve encore les sièges plus spacieux récemment remplacés.

Ou bien choisissez vos sièges à l’avance. Mais la question est : «  Quel siège ?  ».

Tout d’abord, optez pour un siège loin des toilettes. Le siège côté couloir est plus exposé aux allées et venues. Celui du milieu est raide et oppressant, et Carla Jaspers le déconseille. Celui côté hublot est idéal pour se reposer la tête mais également peu pratique, claustré et potentiellement propice à une crise de claustrophobie.

Les rangées situées au niveau des issues de secours ou face à une cloison, offrent assez d’espace pour les jambes, mais les sièges sont susceptibles de ne pas pouvoir s’incliner, et c’est un des emplacements favoris des parents avec enfants en bas âge, puisqu'ils leur permettent d'avoir à portée de main tous les accessoires dont ils auront besoin durant le vol. Vous devez également rester alerte au cas où quelque chose tournerait mal durant le vol.

En dépit de cela, le fait de pouvoir choisir votre propre siège vous donne un certain pouvoir d’action. La plupart des compagnies aériennes vous permettent de choisir votre siège, mais pour cela, il a va peut-être falloir faire défiler l’écran de votre ordinateur un moment. Des sites proposant des services liés aux voyages en avion tels que  SeatGuru font le travail à votre place et présentent la disposition des cabines des principales compagnies aériennes, les dimensions des sièges dans les trois classes ainsi que d’autres détails, mais également des commentaires utiles d’utilisateurs concernant des sièges en particulier et leur emplacement.

MÉDICAMENTS ET AIDES AU SOMMEIL

« Beaucoup de choses peuvent perturber le sommeil », prévient Jamie Zeitzer, qui étudie le pouvoir de la lumière clignotante comme solution contre la  fatigue due au décalage horaire .

Selon lui, il existe de nombreux moyens de s’en sortir. Par exemple, en emportant une couverture pour les cabines fraîches et des masques de sommeil pour ces moments où la lumière (celle qui entre par les hublots ou qui émane de la lampe de lecture d’un voisin) interfère avec votre petit somme.

Les passagers réguliers et les  40 % d’Américains souffrant d’aviophobie ont souvent recours à des  médicaments anti-anxiété comme le Xanax ou l’Ambien (Stilnox en France), tous deux délivrés sur ordonnance. Les voyageurs chevronnés comme Rick Steves ne jurent que par ce dernier. « Je reconnais que j’aime bien mon Ambien, dit-il. Un tiers de comprimé me suffit pour quelques heures de sommeil divin. »

Certains voyageurs préfèrent la  mélatonine , qui n’est pas un sédatif. Il s’agit d’une hormone vendue sans ordonnance et impliquée dans le processus d’endormissement et de réveil, mais pas dans l’insomnie. Prudence toutefois : n’ayez recours à la mélatonine que pour les voyages de plus de six heures (le temps qu’il faut à la dose calmante pour traverser votre système) afin de ne pas arriver ensuqué à destination.

Enfin, restez hydraté.  L’alcool déshydrate et peut interrompre le sommeil paradoxal. De plus, tout produit contenant du cannabis est illégal à bord des vols en partance des États-Unis ou à bord des vols intérieurs.

Comme alternative aux médicaments, Jamie Zeitzer conseille des techniques de relaxation pré-sommeil, comme « la méditation, la  relaxation musculaire progressive , la musique, la lecture ». Ou alors, ajoute-t-il, « enlevez vos chaussures – pas de pieds qui sentent, cela va de soi –, car cela vous aider à dissiper la chaleur, chose cruciale pour s’endormir. » 

Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com en langue anglaise.

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Voyage en avion : ce produit de beauté est interdit dans votre valise (vous avez peut-être déjà enfreint la règle)

Partir en vacances d'été est une excellente façon de se détendre, de découvrir de nouveaux endroits et de profiter du beau temps. Voici quelques raisons pour lesquelles partir en vacances d'été peut être une bonne idée. L'été est la saison parfaite pour se prélasser au soleil, se baigner dans la mer ou dans une piscine, et profiter des longues journées ensoleillées. C’est souvent la période privilégiée pour voyager et explorer de nouveaux lieux, que ce soit à l'étranger ou dans son propre pays. Les vacances d'été permettent notamment de s'éloigner du quotidien et de se détendre, ce qui est essentiel pour recharger ses batteries et repartir du bon pied.

En ce qui concerne la préparation de sa valise pour les vacances d'été, voici quelques conseils utiles :

• Faire une liste : Avant de commencer à remplir sa valise, il est recommandé de faire une liste des vêtements, accessoires et produits de toilette nécessaires pour le séjour. Cela permet d'éviter d'oublier des choses importantes.
• Choisir des vêtements adaptés : En fonction de la destination et des activités prévues, il est important de choisir des vêtements légers et confortables, ainsi que des maillots de bain, des sandales et des chapeaux pour se protéger du soleil.
• Ne pas oublier les essentiels : Il est recommandé d'emporter des produits de toilette en format voyage, une trousse de premiers secours, des lunettes de soleil, de la crème solaire, un adaptateur de prise électrique si nécessaire, et des médicaments si besoin.

Comme pour les bagages cabines, les bagages en soute doivent aussi répondre à certaines règles. En effet, il n’est pas possible de glisser tout et n’importe quoi dans son bagage. " La quantité nette totale par article est limitée à 0,5 kg ou 0,5 l max ", peut-on lire sur la page dédiée aux articles de toilette que l'on retrouve sur le site de la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC) Airbag (Articles Interdits ou Réglementés dans les Bagages) . Parmi les produits, il y a notamment certains produits avec de grosses quantités avec des produits comme les gels douche, les shampoings et les crèmes en format familial.

Si vous allez partir en vacances, laissez donc de côté les formats XXL et pensez à privilégier les tailles classiques pour vos vacances. Aussi, " la quantité nette totale (cabine + soute) par personne, cumulée avec les autres articles de type aérosols et spray et articles thérapeutiques, ne doit pas dépasser 2 kg ou 2 l maximum ", a précisé la DGAC.

Certains produits de beauté sont également interdits même en soute lorsqu'ils présentent un risque pour la sécurité des passagers et de l'équipage. Voici quelques exemples de produits de beauté interdits en soute :

• Les aérosols inflammables tels que les laques pour cheveux, les déodorants en spray et les désodorisants en spray.
• Les parfums et les eaux de toilette contenant plus de 70% d'alcool.
• Les produits en aérosol contenant des gaz comprimés, comme les mousses à raser et les laques.
• Les produits corrosifs, irritants ou toxiques , comme les décolorants pour cheveux ou les solutions de blanchiment des dents.
• Les produits sous pression , comme les vaporisateurs de parfum et les crèmes dépilatoires en aérosol.

Quelles sont les races de chats et de chiens qui peuvent voyager en cabine ?

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Une grande majorité des Français part en vacances avec leur animal de compagnie. Si la plupart sont accompagnés de leur chien, rien n'empêche de partir aussi avec son chat, tant que celui-ci apprécie de se lancer dans de nouvelles aventures.

5 races de chats qui peuvent voyager en cabine

8 races de chiens qui peuvent voyager en cabine.

Selon le baromètre «Les Français et le Chien » mené, en janvier 2024, par CSA pour la Centrale canine, 76% des possesseurs de chiens emmènent leur(s) compagnon(s) en vacances . Selon leur tempérament les chats peuvent aussi accompagner leur maître sans problème particulier.

Les voyages en voiture ou en train sont probablement les plus simples à organiser avec son animal de compagnie , mais rien n'empêche de s'envoler avec lui vers de nouveaux horizons, à condition, toutefois, de respecter certaines règles. Pour des raisons de sécurité, les animaux au-delà d'une certaine taille et d'un certain poids ne peuvent pas voyager en cabine (seule exception : les chiens d'assistance ) et, même s'ils tiennent dans un sac de transport , ils doivent posséder leur propre billet et se plier à plusieurs exigences administratives.

À l'exception des chats atteints du syndrome brachycéphale ( british shorthair , exotic shorthair , munchkin , Scottish Fold, burmilla , himalayen, persan et selkirk rex ), qui ne peuvent pas voyager dans la cabine d'un avion ni dans la soute pour des raisons de santé, toutes les races de chats sont acceptées en vol tant que l'animal lui-même ne pèse pas plus de 8 kg (sac de transport compris). Si votre chat dépasse ce poids, il devra voyager en soute.

Il existe cependant des races de chats de petite taille qui seront sûres de pouvoir voler en classe premium aux pieds de leurs maîtres :

• l' abyssin , aussi surnommé le petit puma, dont le mâle ne dépasse généralement pas les 5 kg ;
• l' havana brown , à la délicate robe couleur chocolat, aux grands yeux verts et au poids moyen de 4 kg ;
• le somali , sorte d'abyssin à poil long , qui pèse aussi lourd que son "jumeau" ;
• le burmese et ses 6 kg venus de Thaïlande ;
• le singapura , tout petit gabarit de 2 à 3 kg, encore peu connu du grand public.

Pour les chiens comme pour les chats, les races atteintes du syndrome brachycéphale ne sont autorisées ni en cabine ni en soute, même si le chien pèse moins de 8 kg comme cela pourrait être le cas pour les shih tzu ou les Lhassa Apso.

Toutes les autres races de petits chiens ont accès aux cabines d'avion, parmi lesquelles :

• le bichon maltais et son impeccable pelage blanc ;
• le J ack Russell et son caractère bien trempé ;
• le Spitz  poméranien ou loulou de Poméranie et ses airs de peluche ;
• le Toy Fox Terrier, très protecteur malgré son mini-gabarit ;
• le chihuahua et ses grands yeux ronds ;
• le Pinscher nain, le mini-doberman de poche ;
• le teckel et ses oreilles tombantes ;
• le Yorkshire , le plus petit des chiens de terrier, initialement utilisé pour chasser les rats.
• Partir en vacances avec son chat : avez-vous pensé à tout ?
• Vacances : où peut-on emmener son chien à la plage ?
• Comment faire entrer mon chat dans sa caisse de transport ?

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Plus d'options

le 19/07/2024 à 10:03

Photo in appropriée : l’animal admis en cabine doit rester dans son sac de transport fermé.

le 19/07/2024 à 07:49

Je suis étonnée de voir le Jack Russel dans la liste. On sait tous que ce toutou est très énergique. Par contre, pourquoi pas le petit levrier italien qui est un chien chat très sage ?

le 19/07/2024 à 07:20

Chiens et chats brachycéphales sont interdits à bord des avions, c’est stigmatiser une minorité, c’est de l’ostracisme , on a jamais vu un chat ou un chien brachycéphale détourner un avion.

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