faire le tour in english

What is the translation of "faire le tour de" in English?

"faire le tour de" in english, faire le tour de {vb} [example].

• volume_up walk round
• circumnavigate
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• do the rounds of
• think through

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Faire le tour de {verb} [example].

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French english contextual examples of "faire le tour de" in english.

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French how to use "faire le tour de" in a sentence.

• faire le reportage de quelque chose
• faire le récit de
• faire le résumé de quelque chose
• faire le sacrifice de quelque chose
• faire le saut
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• faire le topo
• faire le total de
• faire le tour
• faire le tour de
• faire le tour des tables
• faire le tour du cadran
• faire le tour du monde en bateau
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Translation of tour – French–English dictionary

(Translation of tour from the GLOBAL French-English Dictionary © 2018 K Dictionaries Ltd)

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(Translation of tour from the PASSWORD French-English Dictionary © 2014 K Dictionaries Ltd)

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Présidentielle au Sénégal : tout ce qu’il faut savoir sur ce scrutin inédit

Plus de 7 millions d’électeurs se rendent aux urnes ce dimanche 24 mars pour élire le cinquième président du Sénégal. Retour sur les principaux enjeux.

Par notre correspondante à Dakar, Clémence Cluzel

Temps de lecture : 9 min

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C 'est une élection particulière qui se déroule ce dimanche 24 mars au Sénégal et qui survient comme un épilogue à la grave crise politique qu'a traversé le pays ces dernières semaines suite à la décision du président Macky Sall de reporter les élections, initialement prévues le 25 février. Rebondissements à répétition, changement de dynamique, enjeux multiples et scrutin très ouvert font de ce rendez-vous électoral un moment crucial pour l'avenir du Sénégal.

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Pas moins de 19 candidats sont en lice pour cette élection : 18 hommes et une femme. C'est la première fois qu'autant de candidats sont enregistrés. Autre première : le président sortant ne se présente pas. La question d'un troisième mandat successif, interdit par la Constitution, avait agité la société sénégalaise pendant de long mois avant que Macky Sall n'annonce son intention de ne pas concourir une nouvelle fois. Si cette élection est très ouverte et nourrie beaucoup d'incertitudes, deux candidats tirent néanmoins leur épingle du jeu, illustrant par procuration par via leur dauphin respectif le duel opposant Macky Sall à Ousmane Sonko depuis trois ans.

Clôture d’une campagne électorale exaltante á la Place de la Nation. Je suis allé à la rencontre de tous les sénégalais et particulièrement les jeunes, qui constituent l’essence de notre pays. Nos ambitions pour eux sont sans limites. Le #PSE a, sans conteste, posé les bases… pic.twitter.com/m9F03Uv0EW — Amadou BA (@amadou_ba_) March 23, 2024

Amadou Ba , candidat du pouvoir, incarne la continuité du projet présidentiel, notamment à travers le Plan Sénégal Emergent, programme phare de Macky Sall. Face à lui, Bassirou Diomaye Faye, candidat de la rupture. Choisi comme plan B pour remplacer le principal opposant politique Ousmane Sonko dont la candidature a été rejetée par le Conseil Constitutionnel, il est présenté comme le clone de son aîné, arrivé 3e lors des élections de 2019 et donc le plus à même de porter le projet du Pastef, parti dissous d' Ousmane Sonko . Une stratégie incarnée par le slogan de campagne « Diomaye mooy Sonko » (Diomaye c'est Sonko) pour mobiliser les militants et sympathisants et faire ainsi profiter à cet homme peu connu du grand public de la popularité d'Ousmane Sonko. Une stratégie qui semble porter ses fruits : Diomaye bénéficie du large soutien de la jeunesse, séduite par le discours antisystème et anticorruption et souverainiste. Largement soutenue par la diaspora, la coalition Diomaye a aussi rallié plusieurs anciens candidats recalés, parfois même issus de la mouvance présidentielle. Vivier de votes important, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) dont le candidat Karim Wade a été exclu de la course, a émis une consigne de vote en faveur de Diomaye. Une décision qui ne fait cependant pas l'unanimité au sein du parti.

��Diomaye Chez le Président Abdoulaye WADE à POINT E ✌�� Joomay ��️ #karimwade #kebetu #politique #senegal pic.twitter.com/z7HrNpa9sk — SAPALI��️ (@babs_sapali) March 23, 2024

Face à eux, deux routards de la politique sénégalaise : Idrissa Seck, arrivé 2e à l'élection présidentielle de 2019, se présente pour la 4e fois, et Khalifa Sall, ancien maire de Dakar , empêché de participer au scrutin de 2019 par une condamnation pour détournement de deniers publics. Trois autres candidats issus de la mouvance présidentielle, l'ancien Premier ministre Mohammed Boun Abdallah Dionne, Mame Boye Diao, et l'ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye. Anta Babacar Ngom, directrice du 1er groupe agroalimentaire dans le pays, est la seule femme du scrutin.

Également dans la course : Aliou Mamadou Dia, fonctionnaire international des Nations Unies est le candidat du parti religieux PUR, Boubacar Camara, ancien DG des douanes, Papa Djibril Fall, plus jeune candidat (38 ans), Thierno Alassane Sall qui a soulevé la double nationalité de Karim Wade, le maire de Kaolack Serigne Mboup, Dethié Fall qui avait joué un rôle important dans la coalition de l'opposition, Mamadou Lamine Diallo, déjà candidat en 2007, le professeur de parasitologie Daouda Ndiaye et l'ancien ministre Malick Gackou. Faisant campagne pour le compte de Diomaye, Cheikh Tidiane Dièye et Habib Sy, avaient annoncé se retirer de la course mais leur décision a été rejetée par le Conseil Constitutionnel.

Combien d'électeurs sont attendus dans les bureaux de vote ?

Pour une population totale de 18 millions, 7,3 millions d'électeurs sénégalais, dont 338 040 issus de la diaspora, sont attendus ce dimanche de 8 heures à 18 heures pour cette 12e élection présidentielle dans le pays. Parmi eux, 688 851 primo votants. Plus de 2 000 observateurs, nationaux et internationaux, ont été dépêchés pour s'assurer de la bonne tenue du scrutin. Ils seront dispatchés parmi les 15 633 bureaux de vote éparpillés partout sur le territoire.

Certaines localités sont essentielles du fait de leur poids électoral : en tête Dakar, avec 1.8 millions d'électeurs, suivi de Thiès, Diourbel, puis Saint-Louis. Les régions de Kaolack, Louga, Fatick et Matam se démarquent également.

Au Sénégal, le président de la République est élu au suffrage universel direct et au scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Depuis le référendum constitutionnel de 2016, la durée du mandat est de cinq ans, renouvelable une seule fois. Pour une victoire dès le premier tour, le candidat doit obtenir la majorité absolue, soit plus de 50 % des voix. Les premiers résultats et tendances devraient être connus dans la soirée avant la proclamation officielle par le Conseil Constitutionnel dans la semaine. Cela devrait prendre quelques jours afin de pouvoir recueillir les résultats dans chaque région puis de les faire remonter au niveau national. Les candidats disposeront également de 72 heures pour déposer un recours avant cette proclamation.

Dans quel contexte se tient ce premier tour ?

Le vote se déroule dans un contexte particulier, après des semaines d'incertitude. Le pays a en effet traversé une grave crise politique suite à la décision, le 3 février, du président Macky Sall de reporter les élections présidentielles, initialement prévues le 25 février, à quelques heures du lancement de la campagne électorale.

Aux origines de ce premier report, les accusations de corruption et collusion portées par le PDS à l'encontre de deux juges du Conseil Constitutionnel mais aussi de l'ancien Premier ministre et candidat de la majorité présidentielle, Amadou Ba, suite au rejet de la candidature de Karim Wade , le fils de l'ancien président Abdoulaye Wade. Une commission d'enquête est alors créée pour faire la lumière. Dans la foulée, le PDS dépose une proposition de loi pour faire reporter l'élection. Le 3 février, le président s'appuyant sur ces accusations de corruption ainsi que sur la découverte de la double nationalité d'une autre candidate (depuis retirée de la course), décide de reporter le scrutin, sans donner de nouvelle date.

Le 5 février, l'Assemblée Nationale adopte la proposition de loi du PDS qui reporte le vote au 15 décembre. Une première dans l'histoire du Sénégal. Cette décision perçue comme un coup d'État institutionnel, provoque un tollé au sein de la société civile et parmi les opposants politiques tandis que la communauté internationale exprime son inquiétude. Des manifestations pour réclamer la tenue d'un scrutin avant le 2 avril, date de fin du mandat du président Macky Sall, sont durement réprimées et font quatre décès. Le Conseil Constitutionnel annule finalement les dispositions et réclame une nouvelle date pour le scrutin, avant le 2 avril. Macky Sall convoque alors un dialogue national afin de trouver un consensus . Boycotté par 17 candidats de l'opposition et une large partie de la société civile, le rapport du dialogue propose une élection le 2 juin, la réouverture de la liste des candidats ainsi que le maintien au pouvoir du président jusqu'à la passation avec son successeur. Des propositions de rejetées par les sept sages du Conseil Constitutionnel le 6 mars. Le même jour, alors que l'Assemblée Nationale adoptait une loi d'amnistie générale, très décriée, concernant les faits survenus lors des manifestations entre février 2021 et 2024, le président Macky Sall, après dissolution du gouvernement, fixe la date du 24 mars pour la tenue du premier tour de l'élection. La crise politique semble avoir trouvé son épilogue.

Conséquence de ces rebondissements successifs, la campagne électorale se trouve réduite à 12 jours, au lieu de 21. Les candidats doivent s'adapter à une campagne express qui se déroule également pendant la période de ramadan et du carême . La coalition Diomaye a dû en plus composer avec le fait que son candidat était toujours incarcéré lors du lancement de la campagne le 9 mars. Emprisonné depuis avril dernier pour outrage à magistrat, Bassirou Diomaye Faye, comme le chef de file du Pastef Ousmane Sonko (incarcéré depuis juillet dernier), ont finalement été libérés dans la soirée du 14 mars à la faveur de la loi d'amnistie. Le taux de participation à ces élections s'annonce très important, de nombreux Sénégalais étant pressés de pouvoir enfin voter.

Après 12 ans de pouvoir, l'image du président Macky Sall ressort écornée par ces derniers événements. Ses grands projets d'infrastructures et ses actions sociales sont salués mais les mesures liberticides prises lors de son deuxième mandat (coupure Internet, violente répression policière des manifestations, arrestations des militants et opposants, instrumentalisation de la justice) ont été largement fustigées.

Quels sont les enjeux majeurs de cette élection ?

Compte tenu du contexte particulier, tant national que sous régional ou international, dans lequel se tient cette élection présidentielle, le scrutin revêt une importance considérable en raison des enjeux multiples pour l'avenir du pays. Depuis 3 ans, le pays est très polarisé avec des tensions exacerbées par des affaires politico-judiciaires qui ont entraîné par des émeutes meurtrières ayant causé une soixantaine de morts entre 2021 et 2024 et des affaires politico-judiciaires. Si tous souhaitent préserver la tradition pacifique du pays, les Sénégalais sont partagés entre ceux prônant la continuité, vue comme gage de stabilité, et d'autres, notamment la jeunesse, est avide de changement. Frustrée par un fort taux de chômage (20 %) qui n'épargne pas les diplômés, elle souhaite être intégrée dans la vie politique et sociale du pays. Le discours panafricaniste et souverainiste du Pastef, qui prévoit notamment une sortie du Fcfa ainsi que la renégociation de contrats pour mettre fin à la domination économique étrangère (notamment française), parle largement à cette frange de la population dont 75 % est âgée de moins de 35 ans. Les thèmes de l'emploi, de la pêche (secteur économique essentiel mais en souffrance à cause de la surpêche), l'émigration clandestine, la gestion des ressources naturelles sont autant de priorités abordées par les candidats lors de leur campagne électorale.  Le pays doit devenir producteur de pétrole et gaz  dans le courant de cette année. Une manne financière dont la gestion et la redistribution des ressources dégagées interrogent.

Les rebondissements successifs de ces derniers mois ont porté un sérieux coup à la démocratie sénégalaise même si les institutions ont prouvé leur bon fonctionnement. La vitrine démocratique sénégalaise, présentée comme un modèle de stabilité dans une sous-région en proie aux coups d'État et à la montée du terrorisme, a été largement fissurée. Préserver son bon fonctionnement tout en assurant le développement du Sénégal seront les défis majeurs à relever pour le prochain président.

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Gecf : le sénégal trace son sillon parmi les pays exportateurs de gaz, tierno monénembo - le sénégal brûle-t-il , sénégal : le casse-tête de la campagne électorale en plein ramadan.

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Alcoolisé, le chauffeur rate son demi-tour sur route

Lucerne : alcoolisé, le chauffeur rate son demi-tour sur route.

Avec 0,59 mg/l, le conducteur du bus de nuit a loupé un embranchement et voulu faire une manœuvre audacieuse.

Le bus s'est retrouvé coincé au milieu de la route.

Samedi matin 23 mars, peu avant 1 h 30, un chauffeur de bus de nuit circulait de Menziken à Hildisrieden (LU). Sur cet itinéraire, il a raté une sortie et a voulu faire demi-tour plus tard.

Lors de cette manœuvre, la partie arrière du bus a quitté la route et est restée coincée. Personne n'a été blessé. L'alcootest du conducteur a révélé une valeur de 0,59 mg/l.

Le préjudice total s'élève à environ 10'000 francs. La police de Lucerne a retiré le permis de conduire dui chauffeur, qui n'est plus autorisé à conduire un véhicule à moteur jusqu'à ce qu'une décision soit prise par l'Office de la circulation routière.

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